Boitier BitFenix Survivor : Lan Ready ?, page 2

Notre boitier du jour est au format moyen tour, mais vous allez le voir, ce dernier est plutôt large, 230 mm, pour une longueur et hauteur de 510 et 502 mm. Forcément, il en impose le coco et comme on vient de le dire, c'est surtout son assise qui donne cette impression. Au niveau du poids et pour un moyen tour au châssis acier, on reste dans une bonne moyenne, 9.4 kilos.




Il semble que la philosophie de BitFenix soit de faire différent des autres marques. Cela se remarquait sur le Colossus et cela se remarque sur le Survivor. Outre sa grande largeur, on voit de suite les formes de ce boitier qui sont toutes en rondeurs. Le Survivor, malgré son nom qui sonne un peu « Rambo VI : la revanche du boitier pas content », fait donc dans la douceur, mais pas vraiment dans la finesse, tout un paradoxe. En effet, cela reste très noir et même si on a le droit à quelques courbes, on ne peut pas dire que le Survivor soit très Sexy. Au mieux, il diffère de ce que l'on trouve habituellement, c'est certains. Et quand on le touche, cette sensation est encore un peu plus accentuée. Mais pourquoi ça ? Car on à le droit à un revêtement peau de pêche, ou soft touch, à vous de voir, au niveau des parties en plastique dur qui compose le carénage. Reste que le boitier est tout doux tout doux quand on pause les doigts dessus, mais aussi tout sale tout sale à force de poser les doigts dessus. Le Soft Touch, c'est la classe à dallas, mais aussi la classe à la crasse, et donc il faudra toujours de quoi frotter un peu votre Survivant. Mais passons, regardez donc les photos pour vous faire votre opinion, nous allons de notre coté passer aux détails techniques.

Commençons, comme dans la plupart de nos articles, par la face avant. Très classique et plutôt assez plate, cette dernier intègre le gros logo de la marque, ainsi que les baies 5.25 pouces. On en compte trois, ce qui est relativement peu. On pourra, si besoin, en passer une en 3.5 pouces externe. Sous les baies, nous avons ensuite une grande grille taillée à même le plastique de la façade. Elle cache un filtre, mais aussi un ventilateur de 200 mm. Ventilateur qui est pourvu de diodes rouges, du moins dans cette version classique du Survivor, car le Core se contente de ventilos noirs. Maintenant que nous avons dévoilé ce que l'on trouvait à l'avant, le passage sur les cotés se fera rapidement. C'est noir, avec un carénage en plastique recouvert de soft touch et des portes en acier, elles aussi noires. Le tout aimant allègrement les traces de doigts, en raison de notre amour immodéré des pizzas au fromage de chèvre.



Si on a pas grand chose à dire des cotés de ce boitier, il n'en va de même de la partie supérieure. A ce niveau, il y a du monde au balcon, comme avec Amanda. En premier lieu, on trouve une trappe qui coulisse sous le carénage. C'est là qu'on trouve le centre névralgique du boitier avec : le Power On, le Reset, le bouton pour allumer/éteindre les diodes rouges (ventilos et logos), deux ports USB 3.0, deux ports USB 2.0, les diodes d'activités, les prises Audio et enfin le E-SATA. Rien ne manque à ce niveau là, comme chez Amanda.

Un peu plus en arrière, on trouve deux grilles en métal mesh. Elles permettront au ventilateur de 200 mm à diodes rouges qui se trouve en dessous d'expulser l'air chaud hors du boitier. Entre ces deux grillesl une autre forme rectangulaire est décelable et celle-ci n'est autre que la poignée de transport. Poignée qui se libère en appuyant dessus et qui, à nos yeux du moins, semble très très solide. Il faut dire qu'elle est principalement faite d'acier. Pour un boitier de lan, voilà quelque chose d'indispensable, merci BitFenix.



A l'arrière on a : du noir, un passage pour les câbles (pour les USB 3.0 et/ou système de sécurité), deux passe-cloisons, l'emplacement de la plaque I/O Shield de la CM, le grille à destination d'un ventilateur additionnel en 80/120 mm, les 7 slots d'extension avec des caches en mesh et enfin l'emplacement de l'alimentation dans le bas.

Sous le boitier pas grand chose, mise à part les bandes de caoutchouc faisant office de pieds sous le carénage et la grille filtrée de l'alimentation qu'il faudra inverser si on veut pouvoir l'extraire plus facilement.

Passons maintenant à l'intérieur.