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Thermaltake Challenger, le Challenger mais pas Pro, page 4

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Publié le 21 Janvier 2011
Page: 4/5



Le Challenger est donc une version émasculée du Challenger Pro. Et ça se voit. Un peu trop malheureusement. C’est bien là qu’est le problème. Heureusement, il hérite de quelques caractéristiques du Pro qui lui permettent de sauver la mise.

En effet, d’un point de vue contentement du client, il faut avouer que le Challenger rate un peu le coche. Comme nous le disions précédemment dans la description, il fait un peu trop cheap. Pour exemple, lorsque vous l’attrapez, il n’offre qu’une piètre rigidité, se déformant. Cet aspect révèle au grand jour que sa légèreté est le fait de matériaux peu épais, et du coup, cela entraîne un manque de rigidité. Autre point négatif, le plastique granuleux n’est pas franchement le meilleur choix, d’une part, parce que ce n’est pas la plus joli des matières et d’autre part parce que le grain est grossier. Cependant, il ne se rayera pas facilement a contrario d’autres concurrents qui optent pour le plastique laqué…

Au niveau du confort d’utilisation, là encore, il y a du mauvais, pondéré par du bon. Nous commencerons par le bon. En fait, et c’est là que les gènes du Pro transparaissent, le repose poignet est idéal. Il est à la fois suffisamment long pour permettre de reposer la paume, et suffisamment court pour ne pas gêner le poignet. Son inclinaison est aussi tout à fait pertinente, il accompagne la main de façon très subtile et naturelle. Bon, bah voilà, on a fait le tour du bon ! Le mauvais maintenant. C’est simple, ce que l’on demande à un clavier, c’est de nous accompagner dans nos pérégrinations de jeu et de boulot de façon transparente, ou de proposer quelques artifices bien placés de façon à se rendre indispensable. Le Challenger ne propose rien de tout cela. Les touches, par exemple, ne sont pas dotées des mêmes switches que le Pro. De fait, il est fort possible que TT eSports ait eu la malchance de choisir une bien mauvaise série. En fait, le déclenchement est dur en plus d’être spongieux et long, et la course, courte, qui suit est d’une mollesse à toute épreuve. Il faut ainsi bourriner sur les touches et avec, parfois, la surprise de constater qu’il ne s’est rien passé ! Rarement, il nous aura été donné de tester un clavier au confort de frappe aussi bas. Du coup, ce Challenger n’est pas franchement agréable dans le cadre d’une utilisation bureautique. Cette situation est nettement moins gênante en jeu, où là il fait preuve de suffisamment de réactivité pour être acceptable. Cela ne retire pas le fait que, parfois, pour recharger, vous y reprendrez à deux fois. C’est d’autant plus dommage que le Challenger propose le même layout, tant en écartement qu’en termes de largeur de touches, que la Pro. Il partait donc bien pour offrir un excellent résultat.

Au niveau du confort d’utilisation, là encore, il y a du mauvais, pondéré par du bon. Nous commencerons par le bon. En fait, et c’est là que les gènes du Pro transparaissent, le repose poignet est idéal. Il est à la fois suffisamment long pour permettre de reposer la paume, et suffisamment court pour ne pas gêner le poignet. Son inclinaison est aussi tout à fait pertinente, il accompagne la main de façon très subtile et naturelle. Bon, bah voilà, on a fait le tour du bon ! Le mauvais maintenant. C’est simple, ce que l’on demande à un clavier, c’est de nous accompagner dans nos pérégrinations de jeu et de boulot de façon transparente, ou de proposer quelques artifices bien placés de façon à se rendre indispensable. Le Challenger ne propose rien de tout cela. Les touches, par exemple, ne sont pas dotées des mêmes switches que le Pro. De fait, il est fort possible que TT eSports ait eu la malchance de choisir une bien mauvaise série. En fait, le déclenchement est dur en plus d’être spongieux et long, et la course, courte, qui suit est d’une mollesse à toute épreuve. Il faut ainsi bourriner sur les touches et avec, parfois, la surprise de constater qu’il ne s’est rien passé ! Rarement, il nous aura été donné de tester un clavier au confort de frappe aussi bas. Du coup, ce Challenger n’est pas franchement agréable dans le cadre d’une utilisation bureautique. Cette situation est nettement moins gênante en jeu, où là il fait preuve de suffisamment de réactivité pour être acceptable. Cela ne retire pas le fait que, parfois, pour recharger, vous y reprendrez à deux fois. C’est d’autant plus dommage que le Challenger propose le même layout, tant en écartement qu’en termes de largeur de touches, que la Pro. Il partait donc bien pour offrir un excellent résultat.

Au niveau pratique, il faut lui reconnaître que les touches multimédias sont bien placées et fonctionnent parfaitement. L’aspect confort raté fait énormément regretter l’ensemble surtout après avoir constaté que le système de macro est tout simplement génial. En effet, le fait de pouvoir attribuer une macro à la touche qui vous sied est une brillante idée. Il est, du coup, possible de jouer avec EDFS et de placer les macros à proximité. Ex, dans COD 7, vous vous déplacez et sur une touche proche, vous avez crée une macro « lancer grenade, activer bonus de série…. ». Franchement, TT eSports a véritablement pensé aux joueurs. Certes, l’on pourra pester sur le nombre limitée de macros, mais force est de constater que six, c’est déjà pas mal, et que le placement de la macro où on le souhaite, c’est intelligent.

L’on passera rapidement sur le « câble management » limité à une possibilité, à droite en plus du centre, ce qui est un peu bof bof. Le petit gadget ventilateur est le petit plus TT eSports qui apporte une petite touche d’originalité. Il est vrai que cela ne génère pas un cyclone de refroidissement pour vos doigts, cependant, il y a bien un petit courant d’air frais bienvenu. Pas en cette morne saison, c’est sûr. Mais à l’approche de l’été…

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Marque : Thermaltake