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Gigabyte K8100, le clavier qu’il est beau en noir, page 2

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Publié le 31 Août 2011
Page: 2/5



Etant donné qu’il s’agit d’un clavier, on se doute que nous allons trouver des touches. Celles-ci surmontent un grand repose-poignet. Grand est le mot juste, il est énorme. Il porte en son centre un écusson alu anodisé noir marqué d’un « Aivia-K8100 ». Sur le bas, la découpe rappelle cet aspect écusson avec cette pointe tourné vers l’utilisateur. Au dessus, il y donc le set de touches, celles-ci sont low-profils, et le lettrage est translucide. Ce qui, normalement, devrait permettre l’illumination des dites touches. Le lettrage est classique, de même que la disposition. Ici, Gigabyte a décidé de conserver la touche Windows. Sur le coin gauche supérieur, dans les parties biaises, nous découvrons un bouton au look triangulaire, Mode, qui servira à changer de profil. Juste sur sa droite, les touches de macros de forme rectangulaire attendent sagement. En continuant de longer le clavier par le haut, nous trouvons les parties laquées. La première au centre du clavier porte un signe « Mute », et des flèches tournées vers la droite. Il s’agit en fait du panneau tactile qui permet de monter, de baisse, de muter le volume. Plus à gauche, au dessus du pavé numérique, la deuxième partie laquée est en fait munie de parties translucides d’indication de coupure du volume et de sens d’activation du panneau tactile. Nous le savons car, à l’heure de l’écriture du test, nous utilisons le K8100. Du coup, les diodes suivent le sens de passage du doigt sur le panneau de volume. Trois fenêtres rectangulaires achèvent la déco, et indiquent le Caps Lock, Scroll Lock et le Num Lock. Nous découvrons cacher dans les touches une petite touche nommée « WinLock », qui, comme son nom l’indique, permettra à coup sûr de verrouiller la touche Windows pendant les parties de jeu. Sur les tranches du clavier qui est, au demeurant, très fin, un USB à droite et un autre à gauche autoriseront la connexion d’une clé ou d’un périphérique. Sous le clavier, 7 patins en caoutchouc ESPiseront le clavier sur le bureau. Parmi ces sept, deux sont en réalité les pattes de surélévation. Nous visualisons, ici, le fait que le repose-poignet est maintenu par des vis cruciformes. Les jumelles, d’ailleurs, de celles qui maintiennent les parties inférieurs et supérieurs. Le câble, gros, tressé a la joie de constater qu’il peut gérer sa sortie de deux manières différentes. Honnêtement, c’est plus pour le fun qu’autre chose, parce qu’il n’y a pas de grande différence de positionnement des dites sorties.







Au niveau de la technique, le K8100 est un clavier de jeu. Il propose donc cinq profils différents, activable par la touche « Mode ». Une des grandes caractéristiques de ce clavier est de proposer des zones de touches à la pression d’activation différente. En fait, certaines touches demanderont une pression de 50 grammes, d’autres 60 et les dernières, majoritaires, 70. Elles sont placées de telle manière que les plus souples se situent sous les doigts les plus faibles, et les plus durs sous les doigts les plus costauds. Il possède bien évidemment de l’Antighosting sur la partie gauche ( A-Z-E…) et les flèches directionnelles, au total, ce sont 20 touches qui peuvent être activées simultanément. Une puce mémoire de 4 Mo est embarquée pour garder les macros. Il est totalement rétro éclairé. La connexion s’effectue par un USB plaqué or. Les dimensions du clavier montrent à quel point il est grand 495 X 270 X 25 mm mais fin aussi. Il m’a même obligé à ranger mon bureau. Il est pesé à 1202 grammes, soit la légèreté très relative d’un clavier à membrane.

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Marque : GIGABYTE