Test Souris Tt eSPORTS Theron, page 3

Après la Saphira donc, nous avons testé la Theron. Evidemment, l’architecture du soft est un peu la même que celle de sa prédécesseur. Nous retrouvons d’une part le même design, mais aussi le même système d’onglet pour les profils. D’un profil à l’autre, la fenêtre reste identique. Elle présente donc la souris sur la gauche et les pavés de modifications sur la droite.

Les pavés verticaux sont ceux des options d’illumination, sept couleurs au total avec un mode « breathing ». Le pavé Performance permet de gérer les niveaux de DPI par pas de 100 jusqu’à 5700. On y trouve aussi la vitesse du double clic, du curseur, du scroll et enfin du polling, 125-500-1000 Hz.

Pour la suite, on retrouve les cinq profils, mais aussi les pavés T Key, Single Key, Default et Launch Program. Ceux-ci servent, respectivement, à assigner une macro, une commande simple préenregistrée, à ramener la touche à son état d’origine, et enfin affecter un .exe de programme afin de le lancer à la souris.

Le dernier pavé vertical, le plus à gauche, est celui qui permet d’enregistrer une macro. Encore une fois, l’enregistrement de la macro ressemble de très près à ce qui se fait traditionnellement. Et cela ressemble en tous points à celle de la Saphira. Ici, avec une puce mémoire de plus grande contenance, il est possible d’enregistrer 40 macros sur chacun des 5 profils. Bref, de quoi voir venir et de loin ! La Theron a aussi la gentillesse d’indiquer à l’écran ce qui se passe. Ainsi à la montée et à la descente des DPI, une inscription rouge vient informer du niveau en cours. C’est une bonne chose et évite clairement de ne plus se perdre dans son niveau de DPI.