Test Rhéobus NZXT Sentry Mesh, page 2

Pour l’installer, une seule baie 5.25 libre dans toute la longueur sera nécessaire, un bon point pour nous, car ce support complet avec 2 ergots permettra d’attacher avec un rizlan le surplus de câbles. Il est toutefois possible de débrancher les câbles non utilisés pour gagner un peu de place.
Nous retrouvons pas moins de 30W par canal, ce qui est largement suffisant pour brancher plusieurs ventilateurs sur le même canal et fera même plaisir aux détenteurs de watercooling qui pourront y brancher une pompe 3 pins.

Pour nous, le Sentry mesh c’est un peu un retour aux sources que nous propose NZXT car pas de tactile signifie aussi pas de sonde donc pas de réglages automatiques en fonction des températures.

À vous donc de gérer manuellement lors de vos sessions intensives de jeux ou d’overclocking la vitesse des ventilateurs sans aucune latence et sans avoir la figure flashée par une interface lumineuse, mais ce qui nous plait le plus a la Ferme, c’est qu’il n’existe rien de comparable au niveau du look sur le marché.



Comme nous sommes amateurs de silence, on regrettera quand même de ne pas pouvoir couper les ventilateurs et ainsi avoir la possibilité de passer dan un mode passif donc comme vous vous en douter, la plage de tension appliquée ne pourra varier que de 5 a 12 volts.

Petit Hic et pas des moindres, les moteurs de nos ventilateurs NZXT FN140LED et FN200LED n’apprécie pas du tout le signal émis par le Sentry Mesh à tel point que ces derniers grinceront sur la plage 7-10V, mais par contre, contrairement au rhéobus intégré aux séries Phantom, les LEDs ne scintillent pas a bas régime.