Test écran Huawei MateView GT, du wide abordable et complet ?, page 3

Bon, pour travailler cet écran propose pas mal d’options. Déjà, l’espace offert par le UWQHD, mais aussi l’option DCI-P3 dans l’OSD. Surtout que les couleurs nous paraissent belles et les noirs bien profonds. Le 165 Hz assure quand même un chouette confort même en bureautique. Mais c’est surtout en jeu que l’écran tire son épingle du jeu, il est FreeSync et G-Sync compatible validé, donc garanti sans déchirure et autre artefact de mauvaise synchronisation. Seul un léger blur se laisse entrevoir mais sans pour autant être gênant. Et les paramètres de l’OSD vous permettront de choisir entre ghosting, reverse ghosting et blur. Aussi le format 21/9 joue en la faveur de l’écran, et lié à l’incurvé, c’est immersif. Les débuts de ce format étaient difficiles tant les jeux ne le prenaient pas en compte mais maintenant c’est une chose réglée et rares sont les jeux qui ne le prennent pas en charge. En bref : il vaut le détour et ce quelle que soit son utilisation.

On refait une petite parenthèse sonore, mais sur le rendu cette fois-ci. Fini de jouer avec le tactile. Avec une barre de son en 2x5 watts, il ne faut pas s’attendre à des miracles, cela manque très clairement de basseés. Mais nous sommes tout de même bien surpris du rendu de ces enceintes qui proposent un stéréo englobant et claie. Sa limite se porte surtout au volume où la saturation est de la partie. Ceci dit, ce dernier point n’est pas gênant puisque l’on peut atteindre un bon volume sonore sans pour autant réduire la qualité. En jeu, en film ou en musique, cela fera le travail pour une utilisation solo, mais pas pour faire une grosse soirée.