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Test Razer DeathStalker V2 Pro : mécanique, low-profile et sans-fil, page 2

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Publié le 02 Septembre 2022
Page: 2/5

Le clavier

Côté accessoires, le Deathstalker V2 Pro ne propose rien d’autres que le strict nécessaire, à savoir un cordon USB-C pour la recharge du clavier, mais aussi pour y loger le récepteur RTF 2,4 GHz avec un adaptateur fourni. Le tout est entièrement noir, comme le clavier, ce dernier n’était proposé qu’en un seul coloris.

Le Deathstalker V2 Pro est donc au format full size. Deux autres références existent : le Deathstalker V2 tout court, qui est le même clavier mais avec uniquement le filaire USB comme connexion, et le V2 Pro Tenkeyless qui, comme son nom l’indique, est au format TKL et la mention Pro indique qu’il est lui aussi sans-fil. On retrouve donc sur notre clavier l’ensemble des touches traditionnelles, mais on retrouve également dans le coin supérieur droit une large molette de gestion du volume de l’OS ainsi qu’un bouton supplémentaire qui a comme fonction par défaut de mettre sur pause ou de reprendre la lecture de votre média.

Avec ses dimensions de 437 x 141 x 26,6 mm (lorsque les patins ne sont pas sortis), ce clavier low-profile propose un design vraiment plat, idéal pour ceux qui n’aiment pas la hauteur des claviers mécaniques standards. Sous le clavier, on retrouvera deux patins élévateurs rétractables sur deux niveaux afin de modifier la hauteur et l’angle d’inclinaison. Le clavier propose un look très sobre, tout ne noir, avec un top frame en aluminium et surtout une typo très fine et adulte au niveau du lettrage des touches. De quoi glisser le clavier dans n’importe quel environnement sans bouger les codes, c’est très appréciable, même s’il aurait été sympathique que Razer propose au moins un autre coloris. À l’arrière du clavier sur la partie gauche, on retrouve un bouton poussoir sur trois paliers pour éteindre/allumer ce dernier, le mettre en mode sans-fil RTF 2,4 GHz ou en mode Bluetooth. On retrouve également trois autres boutons numérotés, pour switcher d’un dispositif à l’autre à la volée en Bluetooth. Enfin, on a un port USB-C dédié à la recharge et à la synchronisation du clavier.

Razer propose deux types de switchs sur sa gamme Deathstalker V2 : blue clicky ou red linéaire (comme notre version de tests). Ce sont des switchs optiques qui assurent une durée de vie de 70 millions de frappes sur une course totale de 2,6mm. Le point d’actuation est situé à 1,2mm sur les red avec une résistance moyenne de 45 cN, tandis qu’il est à 1,5mm pour les blues pour 50 cN. Leur stem en forme de croisillon est entourée d’un plastique qui permettra de faire centrer le rétroéclairage RGB au mieux au niveau de la LED afin de bénéficier d’une luminosité homogène et diffuse. Seule la partie haute des touches en bénéficiera, les touches numériques ont effectivement une légende inférieure gravés au laser qui n’est pas translucide pour gagner en lisibilité.

Enfin, les keycaps sont en ABS à double injection bénéficient d’un traitement spécial (un vernis) afin que l’effet de lustration si typique et si désagréable de l’ABS soit nettement retardé. Dans la pratique, c’est vrai. Avec une dizaine de jours d’utilisation, nous n’avons toujours pas vu apparaitre le phénomène, alors que c’était le cas dès les trois premiers jours d’utilisation sur notre Cherry MX 10.0N RGB. Puis au niveau des stabilisateurs, rien à signaler. C’est du on ne peut plus standard et ils ne sont pas lubrifiés. Dommage pour le prix du clavier qui se veut haut de gamme, même si pour les claviers low-profile les phénomènes de rattleing sont bien moindres que sur des claviers mécaniques standards.
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Marque : Razer
Tags : Mecanique