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Test souris Dream Machines DM7 Switch Duo : un bon rapport qualité/prix !, page 2

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Publié le 10 Novembre 2022
Page: 2/5

La souris

La petite DM7 Switch Duo est livrée dans une boite relativement simple et peu épaisse qui en plus de contenir la souris (normal après tout), offre un câble USB souple de type shoe-lace muni d’un adaptateur USB-C vers USB-A et c’est tout ce que l’on retrouvera dans la boite. Pas de grips ou de patins de rechange, mais cela s’explique par le prix vraiment agressif de cette DM7 Switch Duo.

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Le mulot n’est proposé qu’en un seul coloris : noir mat, trahi par quelques lignes en plastique brillant ici et là. De forme symétrique, elle conviendra tout de même mieux aux droitiers puisqu’elle ne propose des boutons latéraux que sur le côté gauche. Les boutons principaux abritent de base un duo des excellents switchs Kailh GM 8.0 séparés par une molette à la largeur très convenable et évidemment revêtue de caoutchouc pour l’adhérence avec l’index. À l’avant, on retrouve une petite diode RGB qui témoigne du niveau de DPI en cours, précédée du port USB-C qui permet de recharger la souris.

À l’arrière de la souris, on note la présence d’un logo rétroéclairé en RGB disposé sous la coque semi-opaque noire de la souris. En dessous d’elle, on retrouve deux patins en PTFE assez fins sur chaque extrémité ainsi qu’autour du capteur (un PixArt 3370 pour rappel), mais également un bouton de changement de DPI à la volée, un bouton poussoir pour éteindre la souris ou l’allumer avec ou sans rétroéclairage RGB et pour terminer, une encoche pour loger le récepteur USB sans-fil.

Dans le nom de la souris, on retrouve le terme Duo qui signifie que la souris propose deux types de connexion (USB et sans-fil), tandis que le terme Switch indique que cette DM7 propose un PCB hot-swappable pour changer de switchs. Pour ce faire, il fau appuyer sur la petite marque striée sur l’arrière de la molette et retirer le bouton tranquillement en le tirant vers l’avant. Simple comme bonjour, pas de vis à enlever ! On retrouve ensuite deux languettes de part et d’autre du switch qu’il faut presser pour retirer la petite partie contenant le switch, une manipulation un peu plus délicate cette fois. On peut donc changer ses switchs Kailh pour d’autres modèles, tant qu’ils sont compatibles 3 pins, donc mécaniques purs (pas compatible avec des switchs optiques). Le constructeur propose sur son site d’ajouter pour quelques euros de plus des Huano Blue Shell (20M de clics) ou des Omron à 20 ou 50M de clics.

image n°51340

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