Test Teufel Zola : La vérité est en marche et rien ne l’arrêtera, page 2

Le casque

Dans le carton du Zola, outre le casque bien sûr, on y retrouve les accessoires indispensables à son bon fonctionnement : un câble jack muni d’une molette de réglage du volume et d’un bouton pour couper le micro, un adaptateur USB pour activer le mode 7.1 Surround à la volée et bien entendu le microphone détachable, dont nous n’avons pas les caractéristiques.

Le Teufel Zola est un casque aux allures qui rappellent un peu l’esthétique de certains produits HyperX ou QPAD, avec un arceau simple en acier, pas très épais par ailleurs mais suffisamment solide. On retrouve une mousse à mémoire de forme généreusement fournie au niveau de l’arceau, mais aussi sur les coussinets, revêtus d’une matière textile légère et plus respirante que du similicuir.

Étant un casque analogique, on n’y retrouve que très peu de fonctionnalités directement dessus. On remarque juste la présence de l’entrée ligne sur l’écouteur de gauche, pour relier le câble analogique à la sortie audio de l’adaptateur USB 7.1 fourni avec le casque, ou celle de votre carte-mère ou d’une autre carte-son, c’est évidemment à votre convenance. C’est également sur cet écouteur que l’on retrouve l’entrée ligne du microphone, évidemment au format jack 3,5 mm lui aussi.

Au moment de l’achat du casque, vous devrez choisir la couleur du casque : noir (comme notre exemplaire de test) ou gris clair, puis les couleurs d’accentuation que l’on retrouve sur les coussinets, la bonnette du microphone et les coques. On peut donc opter pour des tons foncés, clairs, sobres ou colorés, c’est selon ses préférences et c’est évidemment très facile de changer ces éléments si on souhaite avoir plusieurs jeux de couleurs sur son casque.