Test microphone Maono DM30 : un tueur !, page 2

Le micro

Le petit Maono DM30 n’est livré qu’avec un simple câble USB-C, coudé par ailleurs pour un peu plus d’esthétisme une fois l’appareil branché à l’ordinateur et posé sur le bureau.

De forme cylindrique, le DM30 est proposé en quatre coloris : noir, blanc, mauve et rose. Dans notre cas, nous avons la version noire. Le micro repose sur un pied au design travaillé avec un système de fixation déporté sur le côté droit, tandis que le pied en métal profite de trois larges bandes rugueuses pour optimiser l’adhérence sur le bureau.

Cela saute aux yeux, le DM30 possède un rétroéclairage RGB bien feutré visible sur toute la partie grillagée qui protège la capsule de type cardioïde. On retrouve également du rétroéclairage au niveau de la base.

À l’avant, on retrouve un potentiomètre multifonction. Il sert bien évidemment à régler le gain du microphone, mais également lorsqu’on fait un appui court à le désactiver ou le réactiver et un témoin lumineux vert ou rouge s’allumera en fonction. Avec un appui long, un second témoin lumineux s’illumine en bleu et indique que le potentiomètre sert alors de monitoring sur la prise casque.

Cette dernière est d’ailleurs située sous le microphone, à côté de l’entrée USB-C et d’un bouton dédié au changement à la volée de la couleur du rétroéclairage RGB. On compte 9 modes différents avec 7 couleurs statiques (rouge, orange, jaune, vert, bleu, violet), un mode multicolore et dynamique à effet respiration et enfin, extinction du rétroéclairage.