Test Lofree Touch PBT Wireless Mouse : un design qui ne laisse pas indifférent !, page 2

La souris

La Lofree Touch PBT Wireless Mouse est fournie avec l’essentiel pour être utilisable dès sa sortie de boite. On retrouve un cordon USB-C assez souple pour la synchronisation et/ou la recharge de la souris, le récepteur USB pour la liaison sans-fil en 2,4 GHz et un manuel utilisateur (la souris étant strictement plug-and-play). Pas d’adaptateur USB-C vers USB-A, ni de patins de rechange donc.

La Touch PBT Wireless est disponible en deux coloris : Tofu (un beige crème) ou Block qui consiste en deux nuances de gris avec le bouton de DPI d’un orange très rétro. Comme vous pouvez le voir, nous avons eu un exemplaire en version Block. Design très tranché donc, mais pas seulement par ses coloris : il y a aussi sa shape et ses boutons. La première se veut vraisemblablement droite, avec quelques détrompeurs qui affirment qu’il s’agit bien d’une souris pour droitier : la partie gauche intègre un repose-pouce et deux boutons latéraux, qu’on ne retrouve pas sur la partie droite.

L’autre élément de design qui nous frappe : ce sont les deux énormes boutons principaux qui prennent la forme de keycaps directement inspirés de l’univers du clavier mécanique. Ceux-ci sont conçus en PBT épais, tout comme le reste de la coque. On constate qu’ils n’ont pas la même forme ni la même taille, le second étant plus petit pour laisser de la place à un petit écran LCD qui affiche le nombre de DPI, le type de connexion et le niveau de batterie restant.

Entre les deux boutons, on observe une grand et fine molette aux crans très nets, moyennement espacés entre eux et avec une résistance à mi-chemin entre légère et moyenne.

Spoiler alert : non, il n’y a pas de switchs de clavier mécanique sous ces boutons. En retirant les keycaps, on constate que le clic principal repose sur deux croisillons et que le bouton secondaire sur un seul. En dessous, on retrouve des switchs de souris classiques dont on ne connait pas la provenance.

Enfin, sous la souris, on note la présence de deux boutons : un premier pour la mise sous tension et un second pour switcher entre les différents modes de connexion. On note également la présence d’un encart pour loger le récepteur USB. Quant aux patins, ils sont en PTFE fin et aucun n’entoure le capteur optique.