Souris Ozone Radon 3K, page 2

La souris en elle-même est noire, toute noire, à l’exception de quelques traces de blanc, la molette et le coup de crayon du nom du fabricant. Elle présente aussi une petite alternance de matières, soft touch sur le dessus et gros pavé de caoutchouc strié souple sur le côté et enfin plastique granuleux dur pour le dessous. La finition est nette même s’il y a tout de même un aspect un peu cheap à l’ensemble. Celui-ci résulte plus, nous le verrons, de certains boutons et de leur bruit que, véritablement, de la construction de la souris. Pour le reste, au niveau esthétique, c’est, comme nous le disions précédemment, réussi. C’est une souris sympathique à regarder.

Afin d’alterner et de ne pas accoutumer nos lecteur, nous commencerons par les côtés. Un peu de changement ne fait pas de mal. Ainsi, le côté gauche propose donc un conséquent pavé de caoutchouc. Celui-ci porte des stries proéminentes. Il est certain que cela ne risque pas de déraper ! Deux boutons surmontent ce pavé. Ils optent pour une forme concave et sont de taille différente. Le premier sur l’avant est plus court que le deuxième. Le côté gauche quant à lui propose une forme travaillée afin de favoriser l’ergonomie. Il s’agit de deux encoches au milieu des quelles se trouve un bossage, cela devrait permettre d’appuyer l’auriculaire et l’annulaire. En dessous, il y a bien sûr le capteur laser mais aussi une des particularités de cette Radon 3k. En effet, il est possible sur cette souris de décider de l’endroit de sortie du câble. Cinq possibilités d’offrent à l’utilisateur, franchement sur les côtés, droit ou gauche ou trois possibilités à l’avant (central-droite-gauche). Ensuite, nous y trouvons la trappe circulaire qui héberge les masselottes et enfin les cinq patins de téflon : deux petits ovales sur l’avant, et trois plus longs sur les côtés et l’arrière. On constate donc qu’il n’y a pas de boiboite pour ranger les poids. Ceux-ci sont donc, dès l’achat, insérés dans la souris.



Afin d’alterner et de ne pas accoutumer nos lecteur, nous commencerons par les côtés. Un peu de changement ne fait pas de mal. Ainsi, le côté gauche propose donc un conséquent pavé de caoutchouc. Celui-ci porte des stries proéminentes. Il est certain que cela ne risque pas de déraper ! Deux boutons surmontent ce pavé. Ils optent pour une forme concave et sont de taille différente. Le premier sur l’avant est plus court que le deuxième. Le côté gauche quant à lui propose une forme travaillée afin de favoriser l’ergonomie. Il s’agit de deux encoches au milieu des quelles se trouve un bossage, cela devrait permettre d’appuyer l’auriculaire et l’annulaire. En dessous, il y a bien sûr le capteur laser mais aussi une des particularités de cette Radon 3k. En effet, il est possible sur cette souris de décider de l’endroit de sortie du câble. Cinq possibilités d’offrent à l’utilisateur, franchement sur les côtés, droit ou gauche ou trois possibilités à l’avant (central-droite-gauche). Ensuite, nous y trouvons la trappe circulaire qui héberge les masselottes et enfin les cinq patins de téflon : deux petits ovales sur l’avant, et trois plus longs sur les côtés et l’arrière. On constate donc qu’il n’y a pas de boiboite pour ranger les poids. Ceux-ci sont donc, dès l’achat, insérés dans la souris.

Pour la douloureuse question de la technique, pas de crainte, la Radon ne joue peut être pas dans la cour des hauts de gamme mais l’essentiel est là. En effet, elle dispose d’un capteur de 3200 DPI ajustable par pas de 100. L’USB n’est pas dans la surenchère, puisque sa fréquence est plafonnée à 500 Hz. Le 1000 Hz est réservé au modèle supérieur, la Radon 5K. L’USB, sis au bout d’un câble tressé de 1.5m, est plaqué « truc qui fait ultra plaisir à Madame ». Les dimensions confirment la largeur, en effet, à ce niveau, c’est 70.6 mm, les autres sont dans la moyenne avec 122 et 43 mm. Le poids non vérifié est de 135 grammes, chaque masselotte alourdira l’ensemble de 5 grammes, soit 25 grammes. Cette description terminée, maintenant nous sommes autorisés à la maltraiter, mais auparavant petit passage par le soft.