Le FC8... Quand on le déballe, irrémédiablement un wahou sort de la bouche. Pensez, pas moins de trois Molex pour l'alimenter ! Si vous n'avez que des câbles modulaires avec un Molex par brin, vous pouvez dire au revoir au rangement tout propre. Et pas la peine de n'en brancher qu'un seul, on a essayé, et pouf. A tel point que le disque dur branché sur le câble a été coupé...
Les huit potentiomètres sur la façade en imposent aussi, même si avec le Q12, Scythe fait encore plus fort. Ces huit potards s'enlèvent facilement, et nous vous conseillons d'ailleurs de les ôter pour les remettre, si comme sur notre sample ils ne sont pas alignés sur le 0V.
Les deux extrêmes à gauche et à droite dépassent un peu plus (12mm au total), car il font office de boutons. Celui de droite permet de sélectionner un canal, et celui de gauche une couleur. On appuie en boucle, et on arrête quand on obtient la configuration de ses rêves.
A l'arrière, le PCB est ultra complet, et chargé, tout en restant très propre. Il faut dire qu'entre les diodes, les potentiomètres, les condensateurs et les radiateurs, on ne manque pas de monde.
Ici, nous ne pourrons brancher que les ventilateurs, puisqu'une sonde n'est présente. On branche, et c'est tout bon, rien de plus.
Comme sur les autres modèles de la marque, la finition est de haut vol. La façade avant présente très bien, malgré l'abondance de boutons. Les diodes restent discrètes, et n'éblouissent pas trop. Tant mieux pour les nocturnes, ou ceux qui ferment les volets même le jour...
En l'absence d'écran, il est difficile de juger la précision des potentiomètres, à moins de laisser un logiciel comme Aida 32 ouvert en permanence. Néanmoins, ils sont suffisamment sensibles pour ne pas avoir à rester sur le 0V, le 12V et midi.
Reste à avoir l'utilité d'autant de canaux.
Pour
Contre
De la couleur et des diodes, c'est classe
Une couleur différente par canal, c'est vraiment classe