Rédigé par
Aurélien LAGNY Publié le 22 Septembre 2011 Page: 2/6
Le Pyro, presque comme tous les SSD du marché, mesure 100 x 70 x 9.5 mm, pour 82 grs.
Le PCB, presque comme tous les SSD du marché, loge dans un boitier qui est aluminium, anodisé gris anthracite ce jour.
Au niveau du PCB, pas de grosse surprise. Le contrôleur est un SF 2281, comme souvent, et les puces sont au nombre de 16 ; elles sont de 8 Go chacune, sont gravées en 25 nm et sont de type asynchrone. Des puces qui ne peuvent pas délivrer plus de 50 Mo/sec dans la pratique, ce qui grèvera les performances tout particulièrement sur les données non compressibles.
On commence, avec HD Tune :
On commence avec la lecture et une bonne prestation, avec une moyenne de 331.6 Mo/sec, pour un maximum de 363.6 Mo/sec et un minimum de 326.1 Mo/sec. Le temps d'accès est très bas, 0.059 ms. En lecture tout se passe pour le mieux.
En écriture, on retrouve, comme avec tous les SF-2200, la courbe en dents de scie. Cependant, la moyenne reste excellente avec 321.3 Mo/sec, pour un maximum de 344.6 Mo/sec et un minimum de 205.4 Mo/sec. Le temps d'accès reste bas avec 0.080 ms.
En 0.5 Ko, le Pyro propose 6 Mo/sec en lecture et 7 Mo/sec en écriture. En 16 Ko, le Pyro taquine les 150 Mo/sec en lecture et les 180 Mo/sec en écriture. En 64 Ko, c'est la barre des 300 Mo/sec qui est en point de mire. Au maximum, on trouve 475 Mo/sec en écriture et 495 Mo/sec en lecture, des débits un poil moindre que les autres SSD SF2281 que nous avons testés, mais rien de catastrophique non plus.