MAJ de la news du 25 avril 2023 : Selon The Verge, la console dans sa version 16 Go de RAM et 512 Go de SSD débarquerait à 699 dollars, ce qui est juste 51 dollars au-dessus du tarif de la Steamdeck en version 512 Go également.
Il va donc y avoir match.
Après une présentation surprise le 1er avril dernier et quelques fuites ci et là, la machine ROG Ally d'ASUS se dévoile enfin. Mais pas dans son entièreté, puisque le SoC AMD retenu reste pour l'instant plutôt mystérieux, tandis que le tarif n'est pas encore officialisé. Enfin... Pour vous, pas pour nous... 😏
Tout cela pour dire que nous avons pu passer quelques minutes avec la machine en main pour nous faire un premier avis, ce qui nous permet de faire un premier point avant sa sortie, qui devrait être plus rapide qu'on ne le pense. Mais non, elle n'est pas attendue pour demain ou après-demain !
Premier point qui interpelle, le coloris. ASUS a voulu se démarquer de la concurrence en optant pour un blanc immaculé qui permet au premier coup d'oeil de reconnaitre la machine de loin. C'est original, propre, et nous avons confiance dans le traitement dans la tenue dans le temps avec la transpiration, comme pour les souris.
A part ce détail, la machine reste proche des autres solutions sorties plus ou moins récemment : un écran, des boutons, un croix directionnelle, deux joysticks, des gâchettes, etc. Il faut aller derrière pour peut-être en voir un peu plus avec une grande diagonale qui s'allume une fois l'Ally en route, et deux zones pour l'aération puisque la machine est équipée d'un gros radiateur et de deux ventilateurs.
A défaut de pouvoir parler autonomie, un point qui devrait varier énormément d'un jeu à l'autre et d'un réglage à un autre, nous pouvons dire que l'Ally est légère et plutôt fine. Avec 608 grammes sur la balance, elle se laisse plutôt oublier en main une fois que la préhension est acquise sur l'arrière. La coque revient moins sur l'arrière que certaines manettes, et un petit temps d'adaptation peut être requis selon l'univers duquel où vient. Ce point en concerne que la partie basse, au niveau de la paume, les deux gâchettes sur le dessus étant très bien proportionnées.
Côté logiciel, ASUS s'appuie sur Windows 11 et son logiciel maison Armoury Crate, qui revient ici en version SE avec la prise en charge des différents launchers. Utiliser Windows permet à ASUS de cibler une large variété de joueurs, à voir au niveau de l'ergonomie ensuite d'Armoury Crate SE. Après tout, Windows sur un écran de 7" en 1080p (120 Hz avec prise en charge FreeSync), on sait très bien ce que ça donne, et ce n'est pas forcément évident au quotidien.
Pour la partie matérielle, on retrouve deux joysticks avec un éclairage RGB autour, un D-pad hybride et quatre boutons au layout Xbox, mais aux couleurs... Etranges ? Sur le dessus, deux gâchettes et deux boutons terminent le tableau, avec sur l'arrière deux boutons qui pourront être configurés à sa guise : macro, report d'un bouton en façade, etc.
Bien entendu, Armoury Crate SE offrira des options de personnalisation pour les boutons, avec notamment la zone morte des joysticks (point d'effet Hall), la sensibilité des gâchettes, la gestion des vibrations gauche et droite indépendamment, etc.
Pour aller plus loin, plusieurs profils sont proposés pour la gestion du processeur, mais nous manquons encore de détails à ce sujet. Normal, le processeur AMD est encore relativement secret sur ses caractéristiques. Nous dirons juste qu'il s'accompagne de 16 Go de mémoire vive en LPDDR5.
Pour le lancement, ASUS devrait avoir deux accessoires plus ou moins utiles selon l'utilisation qui sera faite de la machine : une housse de protection et un chargeur de 65 W qui fait office de dock / hub.
Pour la première, nous parlerons plus de housse de protection que de housse de transport pour la simple et bonne réponse qu'elle n'est pas rigide. Ne tournons pas autour du pot, sa finesse est le seul point intéressant à nos yeux. En revanche, le chargeur est une bonne idée à nos yeux, selon l'environnement. Plutôt que de proposer un dock avec une connectique énorme et un encombrement important, ASUS déplace la connectique dans un chargeur avec le port USB Type-C, logique, plus un port USB Type-A et une prise HDMI. Point d'Ethernet en revanche, ASUS semble vouloir laisser le WiFi 6E en élément principal.
Et puisque nous parlons de vitesse, un petit mot sur le SSD et le lecteur de carte mSD. Le premier est au format M.2 en 2230 avec une connexion en PCI-E Gen4 et une capacité de 512 Go, tandis que le second prend place sur le dessus avec une compatibilité UHS-II. A côté du lecteur se trouve un port XG Mobile si jamais on a une carte graphique externe compatible, encore un moyen de profiter de l'Ally autrement.
Tout comme il était possible de parler Steam Deck sans évoquer la Nintendo Switch au lancement de cette première machine, il est possible de parler ROG Ally sans parler Steam Deck. Mais la comparaison est tentante, et comme nous avions un Steam Deck avec nous...
Sans surprise, la machine de Valve est plus large, plus épaisse et plus lourde. La présence des deux touchpads (qui ne servent pas sur notre utilisation, ou très peu) y contribue pour partie. Nous avons souvent dit que le plastique du Steam Deck n'était pas exceptionnel, et ce point ne se retrouve pas sur l'Ally, à la finition plus qualitative. Un détail qui se retrouve aussi sur l'écran choisi par ASUS, plus immersif avec sa luminosité et son contraste. Enfin, signalons que l'Ally n'a pas de gyroscope intégré.
Il va donc y avoir match.
Après une présentation surprise le 1er avril dernier et quelques fuites ci et là, la machine ROG Ally d'ASUS se dévoile enfin. Mais pas dans son entièreté, puisque le SoC AMD retenu reste pour l'instant plutôt mystérieux, tandis que le tarif n'est pas encore officialisé. Enfin... Pour vous, pas pour nous... 😏
Tout cela pour dire que nous avons pu passer quelques minutes avec la machine en main pour nous faire un premier avis, ce qui nous permet de faire un premier point avant sa sortie, qui devrait être plus rapide qu'on ne le pense. Mais non, elle n'est pas attendue pour demain ou après-demain !
Qui blanc et des évents
Premier point qui interpelle, le coloris. ASUS a voulu se démarquer de la concurrence en optant pour un blanc immaculé qui permet au premier coup d'oeil de reconnaitre la machine de loin. C'est original, propre, et nous avons confiance dans le traitement dans la tenue dans le temps avec la transpiration, comme pour les souris.
A part ce détail, la machine reste proche des autres solutions sorties plus ou moins récemment : un écran, des boutons, un croix directionnelle, deux joysticks, des gâchettes, etc. Il faut aller derrière pour peut-être en voir un peu plus avec une grande diagonale qui s'allume une fois l'Ally en route, et deux zones pour l'aération puisque la machine est équipée d'un gros radiateur et de deux ventilateurs.
Une machine vraiment nomade ?
A défaut de pouvoir parler autonomie, un point qui devrait varier énormément d'un jeu à l'autre et d'un réglage à un autre, nous pouvons dire que l'Ally est légère et plutôt fine. Avec 608 grammes sur la balance, elle se laisse plutôt oublier en main une fois que la préhension est acquise sur l'arrière. La coque revient moins sur l'arrière que certaines manettes, et un petit temps d'adaptation peut être requis selon l'univers duquel où vient. Ce point en concerne que la partie basse, au niveau de la paume, les deux gâchettes sur le dessus étant très bien proportionnées.
Comment joue-t-on ?
Côté logiciel, ASUS s'appuie sur Windows 11 et son logiciel maison Armoury Crate, qui revient ici en version SE avec la prise en charge des différents launchers. Utiliser Windows permet à ASUS de cibler une large variété de joueurs, à voir au niveau de l'ergonomie ensuite d'Armoury Crate SE. Après tout, Windows sur un écran de 7" en 1080p (120 Hz avec prise en charge FreeSync), on sait très bien ce que ça donne, et ce n'est pas forcément évident au quotidien.
Pour la partie matérielle, on retrouve deux joysticks avec un éclairage RGB autour, un D-pad hybride et quatre boutons au layout Xbox, mais aux couleurs... Etranges ? Sur le dessus, deux gâchettes et deux boutons terminent le tableau, avec sur l'arrière deux boutons qui pourront être configurés à sa guise : macro, report d'un bouton en façade, etc.
Bien entendu, Armoury Crate SE offrira des options de personnalisation pour les boutons, avec notamment la zone morte des joysticks (point d'effet Hall), la sensibilité des gâchettes, la gestion des vibrations gauche et droite indépendamment, etc.
Pour aller plus loin, plusieurs profils sont proposés pour la gestion du processeur, mais nous manquons encore de détails à ce sujet. Normal, le processeur AMD est encore relativement secret sur ses caractéristiques. Nous dirons juste qu'il s'accompagne de 16 Go de mémoire vive en LPDDR5.
Quels accessoires pour profiter de l'Ally ?
Pour le lancement, ASUS devrait avoir deux accessoires plus ou moins utiles selon l'utilisation qui sera faite de la machine : une housse de protection et un chargeur de 65 W qui fait office de dock / hub.
Pour la première, nous parlerons plus de housse de protection que de housse de transport pour la simple et bonne réponse qu'elle n'est pas rigide. Ne tournons pas autour du pot, sa finesse est le seul point intéressant à nos yeux. En revanche, le chargeur est une bonne idée à nos yeux, selon l'environnement. Plutôt que de proposer un dock avec une connectique énorme et un encombrement important, ASUS déplace la connectique dans un chargeur avec le port USB Type-C, logique, plus un port USB Type-A et une prise HDMI. Point d'Ethernet en revanche, ASUS semble vouloir laisser le WiFi 6E en élément principal.
Et puisque nous parlons de vitesse, un petit mot sur le SSD et le lecteur de carte mSD. Le premier est au format M.2 en 2230 avec une connexion en PCI-E Gen4 et une capacité de 512 Go, tandis que le second prend place sur le dessus avec une compatibilité UHS-II. A côté du lecteur se trouve un port XG Mobile si jamais on a une carte graphique externe compatible, encore un moyen de profiter de l'Ally autrement.
La concurrence en face
Tout comme il était possible de parler Steam Deck sans évoquer la Nintendo Switch au lancement de cette première machine, il est possible de parler ROG Ally sans parler Steam Deck. Mais la comparaison est tentante, et comme nous avions un Steam Deck avec nous...
Sans surprise, la machine de Valve est plus large, plus épaisse et plus lourde. La présence des deux touchpads (qui ne servent pas sur notre utilisation, ou très peu) y contribue pour partie. Nous avons souvent dit que le plastique du Steam Deck n'était pas exceptionnel, et ce point ne se retrouve pas sur l'Ally, à la finition plus qualitative. Un détail qui se retrouve aussi sur l'écran choisi par ASUS, plus immersif avec sa luminosité et son contraste. Enfin, signalons que l'Ally n'a pas de gyroscope intégré.
Marque : ASUS
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Posté le 27 Avril 2023 à 08:48 par Aurélien Lagny
