Quelle surprise avons-nous eue en constatant que le Musée des Beaux-Arts de Lille s'ouvrait au monde du jeu vidéo. Pour ce faire, deux studios ont établi un partenariat avec le studio SPIDERS, à qui l'on doit les jeux de la série GREEDFALL et le studio ANKAMA, créateur de l'univers de DOFUS. Cette collaboration a permis d'orner le musée et d'informer les visiteurs sur les différentes étapes de création d'un jeu vidéo, le tout en harmonie avec le reste des collections du musée. Cette initiative intrigante positionne ainsi le jeu vidéo, d'après les responsables des Beaux-Arts, en tant que 10ème Art, avec des installations discrètement intégrées ici et là au milieu des œuvres anciennes. Ces installations expliquent les processus de création, d'animation et autres étapes essentielles à la réalisation d'un jeu.
Cependant, il est important de préciser que cette démarche n'a pas donné lieu à une exposition permanente ni temporaire. Au cours de notre visite au musée, nous n'avons eu droit qu'à des clins d'œil ponctuels, laissant un sentiment de curiosité insatisfait. Néanmoins, en dehors de cet aspect, nous avons pu observer des installations judicieusement positionnées, toujours en adéquation avec l'ambiance de la salle dans laquelle elles se trouvaient. Par exemple, nous avons pu comprendre comment et pourquoi un coffre s'anime dans un jeu vidéo, en explorant la salle des trésors du musée. De même, la création d'une créature inspirée d'une momie de chat était mise en lumière dans la section dédiée à l'Égypte antique.
Pour les curieux, cet évènement se déroule au Palais des Beaux-Arts de Lille jusqu'au 25 septembre. Cependant, nous tenons à vous informer que l'expérience reste principalement une visite classique du musée dans laquelle on a ajouté une petite pointe de geekerie.
Cependant, il est important de préciser que cette démarche n'a pas donné lieu à une exposition permanente ni temporaire. Au cours de notre visite au musée, nous n'avons eu droit qu'à des clins d'œil ponctuels, laissant un sentiment de curiosité insatisfait. Néanmoins, en dehors de cet aspect, nous avons pu observer des installations judicieusement positionnées, toujours en adéquation avec l'ambiance de la salle dans laquelle elles se trouvaient. Par exemple, nous avons pu comprendre comment et pourquoi un coffre s'anime dans un jeu vidéo, en explorant la salle des trésors du musée. De même, la création d'une créature inspirée d'une momie de chat était mise en lumière dans la section dédiée à l'Égypte antique.
