EN DIRECT en ligne connexion / inscription
Connexion

Surnom/Pseudo
Mot de Passe :

[ Vous avez perdu votre mot de pass ? | Devenir membre ]

×

InWin X CCL 20 ans : un showroom absolument fantastique et nostalgeek

Débutons chez InWin avec non pas une usine, mais les bureaux... avec un showroom tout simplement superbe. Et l'ambiance est posée avant même d'y rentrer puisqu'on doit passer une superbe double porte en bois. À l'intérieur, on voyage tout simplement dans le temps avec de nombreuses références Signature et d'autres modèles plus classiques.

Tout n'est pas installé, on peut noter l'absence des modèles Mini ou encore du 904, mais les bases sont là. Découvrons ça boitier par boitier !



InWin InWin

Loin de la série Signature, le POC se montre avec ses couleurs bien criardes et son châssis original. Le principe est simple, le boitier est livré à plat et à assembler soi-même. C'est original avec une expérience utilisateur qui change et c'est plutôt pas mal. Envie d'en savoir plus ? Notre test est ici. InWin

Remontons le temps avec le tòu, qui sera suivi quelques années après par un tòu 2.0 qui reprendra les mêmes atouts que les autres modèles 2.0 : un design légèrement revu, un châssis à jour et une alimentation exclusive installée par défaut. Exclusive comment ? Côté transparent, grille en aluminium faite dans un moule en sable, les possibilités sont toujours variées pour InWin. Malheureusement, ils ne sont jamais arrivés à la Ferme.

Petite anecdote : l'inspiration est à chercher dans une église construite dans le sud de Taiwan, en verre trempé. Original ! InWin InWin

Autre registre avec le X-Frame et sa suite X-Frame 2.0 ! Deux tables de bench plus que des boitiers et la première a d'ailleurs était développée avec des overclockers. Le style industriel est frappant et on le retrouve, légèrement différent, dans le premier H-Frame. Si le premier X-Frame pouvait s'installer verticalement ou horizontalement, le X-Frame 2.0 a une approche différente avec un pied permettant de faire pivoter le haut. Bien entendu, on pouvait aussi retirer la table du pied pour passer à une position horizontale.

Construit à cinquante exemplaires, le premier X-Frame est resté confidentiel. Le second semble être également resté plutôt confidentiel par rapport à d'autres modèles de la marque. InWin InWin

Le H-Frame ! Aperçu il y a désormais plus de dix ans lors de notre premier COMPUTEX, il s'agit peut-être d'un tournant pour la marque. Pas encore de verre trempé à l'époque, mais de l'aluminium et un style unique. Un boitier très original qui a marqué plus d'un utilisateur, et InWin l'a tout naturellement revu en H-Frame 2.0 avec un éclairage entre les lames, en aluminium, et un format bien plus imposant pour des configurations plus haut de gamme.

Les boitiers sont passés entre nos mains, et les tests sont disponibles ici et ici avec quatre ans d'écart environ. Entre les deux, le Mini est ici. InWin InWin

Autre registre avec un boitier qui n'est jamais sorti, le Diéy. Une boule avec de multiples ailettes motorisées et une intégration de Jarvis, notamment, pour piloter le bazar. La partie blanche au sol permet l'affichage d'images ou vidéos via un projecteur, l'éclairage et les ailettes sont indépendantes, etc. Un concept qui a été assemblé à quatre exemplaires : deux dans les bureaux à Taiwan et deux autres aux USA. Imposant, onéreux, complexe, le boitier coche toutes les cases pour bloquer la fabrication ! Une belle attraction lors du CES 2020, assurément.

Non, nous ne l’avons pas testé... InWin InWin

Autre boitier concept, mais finalement sorti, le WinBot. Une sphère transparente qui a eu un processus de fabrication complexe, avec un plexi qui avait tendance à se casser lors du refroidissement. Pilotable via Alexa, le boitier intègre également une reconnaissance faciale avec Windows Hello et l'ouverture de la partie haute est toujours un vrai plaisir pour accéder aux composants.

Une disponibilité qui resta tout de même limitée. InWin

Revenons sur du plus classique ! Ou du moins du plus abordable, avec le D-Frame, suivi d'un Mini et d'un 2.0 avec un look encore plus racing et une conception différente puisque la structure tubulaire pouvait s'ouvrir grâce à une charnière. L'inspiration est à chercher dans le monde du vélo et non de la moto ! Taiwan abrite en effet de nombreuses marques réputées, dans ce domaine.

Le mélange des couleurs reste toujours aussi discutable, mais quel style malgré quelques défauts de conception pour le premier. Le Mini se montrait plus réussi, peut-être, tandis que le 2.0 balayait tout. Mine de rien, le premier date de 2013, puis 2015 (mini) et enfin 2016 (2.0). Les tests sont ici, ici et ici. InWin InWin

Passons au S-Frame, que nous avions pu découvrir sous toutes ses coutures avec une visite d'usine mémorable. A retrouver ici pour les curieux, et en test ici. Neuf ans déjà, et pourtant... Il reste un modèle iconique avec son énorme plaque en aluminium pliée de multiples fois et sa finition absolument dingue. L'aluminium avec deux coloris, on adorerait revoir ça ! Pas parfait pour l'intégration des composants et la gestion des câbles, mais un véritable coup de cœur, qui le restera. InWin

Deux ans plus tard, InWin craquait avec le H-Tower, un truc motorisé avec des lasers, des panzers, des blades, etc. Passé entre nos mains, ici, il se montrait original, mais... de là à craquer ? Le même sans la partie motorisée, nous ne dirions pas non, avec sa forme évasée et ses grosses plaques en aluminium.

Une belle vitrine technologique ! InWin InWin

Montons en gamme avec deux véritables œuvres d'art. Quittons un peu le monde du boitier classique avec le Z-Tower que nous avons eu la chance de tester, ici, et le Yǒng. Le premier représente l'air avec une tornade ; la construction avec cinq énormes pièces en aluminium moulé représente les cinq éléments dans la culture asiatique, et le tout... pas grand-chose à dire en fait, on arrive sur de l'artisanat. Ce qui n'est pas le cas avec le second, qui est imprimé en 3D ! Mais via un système procédural qui fait que chaque boitier est unique. L'utilisateur choisissait un thème avec des rendus plus géométriques ou organiques, et il attendait de recevoir son jouet. Clairement, on opterait pour un organique façon œuf avec un Facehugger ! InWin InWin

Redescendons sur Terre, encore une fois, avec la série 900 et les 300. Les premiers mettent en avant l'aluminium unibody tandis que les seconds... des façades avec des diodes et des animations, voire même des jeux vidéo ! Emblématique, la série 900 a vraiment lancé InWin avec un premier 904 relativement abordable qui venait se frotter à une concurrence bien plus classique. Un pari réussi quand on voit les déclinaisons et les retours des utilisateurs, et ce malgré quelques défauts pour le refroidissement.

Le 904 et le 905 ont été testés ici et ici, en 2014 et 2020, tandis que le 305 est ici. InWin InWin

Et la suite ? Le Dubili bien entendu, avec deux modèles qui peuvent être livrés à plat ou assemblés. La différence avec les produits Signature ? Ils sont bien plus abordables, et ils sont surtout dessinés par une autre personne : une femme ! Et nous adorons, tout simplement. Un design simple et élégant, une finition très haut de gamme jusque dans les vis à main, etc. Du InWin, tout simplement.

Et de ce que nous avons pu voir au COMPUTEX, la marque ne compte pas s'arrêter là. Nous reparlerons de quelques modèles plus tard, mais qu'on dise les choses de suite : des changements sont prévus, donc il faudra attendre la sortie ou le CES pour en savoir plus et regarder les modifications. InWin InWin

Voir toutes les news du 20 Ans de CCL, à Taiwan :
Marque : InWin
Partagez :
Posté le 09 Novembre 2023 à 11:16 par Sébastien Vandeborre


10 commentaires
Vous devez être membre pour poster des commentaires.
Identification
Surnom/Pseudo :
Mot de Passe :
Top 100 dernières actualités des fermiers