Test Boitier In Win S-Frame, page 3

Pour accéder aux châssis, il suffit d'enlever les deux panneaux en verre. Quatre vis par côté, et c'est tout, avec du caoutchouc pour ne rien abimer.



L'ouverture du boitier, si on peut dire ainsi, permet de bien voir la deuxième couleur appliquée sur l'aluminium. Le traitement est ici différent, sans brossage.
Côté châssis, le tour sera vite fait... De droite à gauche, nous avons les quatre paniers pour le stockage, une large découpe dans le bas pour faire passer des câbles, un support pour trois ventilateurs de 120mm ou un radiateur de watercooling, huit équerres PCI, et enfin un passage pour les câbles de l'alimentation sur le montant gauche.
C'est aussi sur ce montant que le numéro de série du boitier est inscrit. Pour notre part, c'est le logo du site.



Le plateau de la carte mère comprend de nombreux trous qui ont des utilités variées : la classique série pour les plots de la carte mère, ainsi que des trous pour installer les guides des câbles. In Win a en effet décidé de mettre les guides devant, ce qui devrait faire un joli paquet de câbles non cachés. Les câbles de le connectique, gainés, iront aussi très rapidement sur l'avant du châssis via le large passage dans le bas.
D'autres trous sont présents sur les montants à gauche et à droite, théoriquement pour installer pompes et réservoirs. SI la marque a installer un ensemble EK lors du Computex, il est à noter qu'une DDC-1T basique ne prendra pas place correctement, dans le sens où les entraxes sur la pompe et le boitier ne sont pas les mêmes.

Une partie des éléments du châssis se démonte facilement, grâce à quelques vis à mains. Ainsi, la platine pour les ventilateurs est maintenue via deux vis.