M8600, Aivia pas mal du tout, page 3

Pour pouvoir exploiter cette M8600, il faut passer par le logiciel. Celui-ci, à son ouverture, propose une installation directe ou une utilisation en flash. L’esthétique est moins ratée que celle du clavier, une ode au mauvais goût. Ici, du gris et du bleu plus sympathiques illuminent tout ça. Une chose est certaine, les deux softs proposent la même ergonomie, et si vous optez pour l’équipement complet Gigabyte, vous ne serez pas perdus en passant de l’un à l’autre.



Tout s’articule autour d’une fenêtre principale sur laquelle nous allons trouver les différents onglets. Tous s’ouvrent dans de nouvelles fenêtres dans lesquelles il faut effectuer les modifications et les réglages avant d’appliquer et de refermer. Il est possible de déterminer si la souris est main droite ou main gauche. Ensuite des attributions basiques aux macros complexes, c’est le royaume du simplissime glisser-déposer. Il suffit de prendre la fonction et de la déposer sur l’icône correspondant au bouton. Les macros s’enregistrent dans l’onglet « Edition macro » qui ouvre une nouvelle fenêtre. Sur celle-ci, nous retrouvons un enregistrement classique des macros, il suffit de lancer la séquence à mémoriser, et à stopper l’enregistrement quand elle est terminée. Ensuite, il faut glisser-déposer la première saisie dans un emplacement disponible dans la colonne de droite. Il est aussi ici possible de saisir un déplacement de la molette dans la séquence, les logos de gauches sont les mouvements de souris réalisables.



L’onglet « Sensibilité » gère les pas de DPI par pas de 100. Quatre niveaux sont paramétrables et l’on peut régler indépendamment X et Y. C’est aussi à cet endroit que se paramètre la fréquence de l’USB, de 125 à 1000 Hz.



L’onglet « Défilement » gère la vitesse de défilement de la molette, sur l’horizontalité et la verticalité. Et enfin l’onglet « Fenêtre » permet d’ouvrir les propriétés de la souris de Windows…on ne sait jamais si quelqu’un dans l’assistance en avait besoin. Il faut mieux prévenir que guérir.