ROG, trois lettres, un casque, plusieurs possibilités ?

ROG, trois lettres, magiques s’il en est. Des lettres qui font baver même les plus sérieux et surtout les moins raisonnables. La « filiale » hardcoregame d’Asus nous prend par les tripes en général avec des produits que l’on peut qualifier d’ultramiam. Asus et son ROG se préoccupant des joueurs, il était normal qu’à un moment, ils s’intéressent de près aux oreilles. En effet, aucun joueur digne de ce nom ne peut se dispenser de casque. De fait, après avoir mis la moitié d’un rein dans une superbe carte maman ROG, le joueur peut peut-être se permettre de terminer le rein et sa dernière moitié dans les périphériques. C’est là qu’intervient le Vulcan, un casque proposé par Asus. Il est bien évidemment badgé lui aussi ROG. Pour se démarquer du lot, Asus l’a doté d’une ou deux petites choses que l’on espère bien senties. Allez, c’est parti, nous allons voir si Asus a forgé le Vulcan à l’épreuve de tout.



Le logo ROG est reconnaissable entre mille, n’importe quel joueur reconnaîtra le maintenant célèbre regard qui tue de la Republic of Gamers. Il était prévisible que nous le retrouvions un peu partout sur le carton, accompagné des traditionnelles couleurs noir et rouge. Il faut dire quand même que les fabricants ont un peu du mal à sortir de ces couleurs, on tourne toujours autour du bleu, du rouge et du noir. C’est dommage, il y a d’autres couleurs tel que le rose, ou encore le violet. Certes, c’est peut-être un peu moins masculin, mais cela changerait quand même un peu. En tous les cas, au concours de la binette, le principe étant de mettre sa ganache un peu partout dans les journaux, bulletins municipaux, certains font très forts. Force est de constater que c’est un peu pareil, nous retrouvons le sigle ROG 7 fois sur la boîte !! Vous le saurez ! Le casque est visible sur le carton par une belle impression photo sur le devant, accompagné de quelques réclames. A l’arrière, de beaux schémas nous expliquent justement l’intérêt de certains des choix. Enfin le rabat qui recouvre fenêtre permettant d’entrevoir la coque de transport du casque est illustré par des croquis. Du coup, on se sent obligé de se dire qu’il y a un paquet de gaziers qui ont bossé dessus.