Acer Iconia A510, Tegra 3 inside, page 3

Pour allumer la tablette, c'est très simple. On appuie, et on attend. Pas trop longtemps d'ailleurs.
Ensuite... Tout d'abord, on s'émerveille sur la qualité de l'écran. Plus exactement, sur un contraste et une luminosité qui en mettent plein les mirettes, le tout aidé par des couleurs très vives, plutôt fausses. On dira que le tablette n'est en théorie pas utilisée pour du graphisme, mais sait-on jamais.

Vient l'étape de la découverte d'Android, ou de la redécouverte. Chaque constructeur a en effet son petit plus par rapport à la concurrence, et pour Acer, s'il y a bien quelque chose à retenir, c'est le Ring.
En bas de l'écran, au milieu, se trouve un petit cercle, accessible en permanence. Un appui ouvre un anneau au centre de l'écran, avec différentes options. Favoris, raccourcis vers des applications, on peut tout paramétrer. Un outil qui devient très rapidement indispensable, tant il s'avère efficace et fluide. Le genre d'application qu'on aimerait trouver ailleurs, via un apk...

Toujours sous forme d'anneau, le bouton de déverrouillage de la tablette, qui peut se personnaliser en ajoutant des raccourcis.



Comme sur les anciennes générations, on trouve aussi un panneau de configuration Dolby Mobile, pour améliorer légèrement le rendu sonore, ainsi que la solution DLNA Clear.Fi, qui fonctionne très bien, même si comme toujours, on se trouve limité au niveau de la compatibilité des formats vidéo.

Parmi les autres applications installées, notons Soundhoud, polaris Office, Aupeo, Acer Print pour gérer les imprimantes sur le réseau, et quelques autres.



Les ajouts faits par Acer sont discrets, et globalement, il n'y a pas d'application inutile. Un seul regret, le clavier, qui reste un modèle classique ICS, sans ligne avec les chiffres. Asus est largement en avance à ce sujet. En revanche, Acer conserve le retour haptique, pour ceux qui aiment quant ça vibre un peu à la frappe.