Ecran iiyama G-MASTER G3266HS, page 3

Pour la première mise en route, nous avons un écran tout blanc avec le logo de iiyama écris en gros ; attention donc à vos yeux lors de l’allumage dans le noir.

La diode n’est pas imposante ni éblouissante. Orange lors de la veille et blanche lorsque l’écran est allumé. Diode que l’on peut aussi couper en veille (petit détail pour ceux qui dorment avec leurs compagnons électroniques).

Arrivé sous Windows, ceux qui sont habitués à des pitchs plus faibles (du FHD 24’’ par exemple) prendront forcement du recul, le ratio diagonal résolution ne joue pas en sa faveur et les pixels se montrent. Ce qui laisse présager un usage faible en bureautique.

La partie la plus intéressante arrive en jeu. La diagonale offre une très bonne immersion mais il faudra jouer de l’antialiasing pour éviter d’en avoir de trop. Les couleurs sont belles et le rendu en jeu ne nous laisse pas de marbre. Et enfin, et surtout, le 144Hz offre un confort visuel magnifique. Si dans Witcher 3 le ressenti n’est pas bien grand, il en est autrement avec Dishonored 2 : nous avons l’impression de ne pas être à la traine et d’avoir des réflexes accrus (placebo ou pas, on adhère).

Il en est de même en film ; le rendu est beau, profond et immersif.