Test micro Blue Yeti X : le meilleur microphone USB ?, page 2

Disponible en un seul coloris (contrairement aux modèles plus entrée de gamme comme le Yeti tout court), il se compose d’une structure en métal colorée d’une robe noire mat du plus bel effet sur la majeure partie du micro, avec un pied et une séparation au niveau de la grille des capsules chromés, tout comme le logo que l’on retrouve à l’avant. Sur l’avant toujours, on a un potentiomètre cliquable qui permet en rotatif de régler le gain du micro (indiqué par des témoins lumineux RGB personnalisables). Un appui court sur le bouton permettra de mettre le micro en sourdine, tandis qu’un appui long permettra, dans un code couleur différent, de régler le volume du retour du casque. Un autre appui long permettra de gérer la balance entre la capture et le reste. En effet, sous le micro à côté de la prise Micro-USB (on regrette que cela ne soit pas en USB-C), on retrouve une sortie casque qui permettra de monitorer le retour de voix. Entre les deux, on remarque la présence d’un filetage universel pour mettre le micro sur un bras ou une perche.

À l’arrière, un simple bouton permettra de switcher entre les différentes capsules. Il y en a quatre différentes, pour quatre modes d’enregistrement et chacun dispose de son propre symbole visuel pour l’identifier : Cardioïde une captation uniquement sur l’environnement devant le micro (parfait pour le streaming et les podcasts en solo), omnidirectionnel pour une captation à 360° pour capter les sons ambiants si tel est votre désire, bidirectionnel pour une captation en face-à-face (très indiqué pour les interviews à deux personnes) et le mode stéréo qui parle de lui-même, préconisé pour enregistrer des sons qui nécessitent une spatialisation stéréo.