Test souris Mionix Naos Pro, singulière et parfois difficile à convaincre, page 2

La Naos Pro reprend exactement la même coque que la Naos 7000, sauf qu’elle passe tout de même d’un poids lourd de 146 grammes à 102. La différence est extrêmement importante et apporte son lot de confort, de glisse et d’ergonomie, mais nous y reviendrons plus tard. Comme vous pouvez le constater, la Naos Pro est imposante. Avec 131x 82 x 39 mm de dimensions, elle est large et longue, mais finalement peu haute. Son imposant gabarit est dû à cette sculpture ergonomique très prononcée sur la partie droite, qui accueille avec douceur l’annulaire. L’index et le majeur arrivent sur deux boutons principaux qui reprennent cette même forme tuilée, tandis que le pouce arrive sur un renfoncement bien plus discret que sur la Castor. Toujours sur la tranche gauche, seulement deux boutons, comme à l’ancienne. On aurait peut-être aimé que Mionix tente d’en intégrer d’autres, étant donnée la place disponible et l’ergonomie très typée bureautique et MMO de cette souris.

Entre les deux boutons principaux, toujours cette même molette propre à toutes les souris Mionix, à savoir peu proéminente, discrète et marquée d’un revêtement caoutchouteux pour une bonne adhérence. Derrière celle-ci, on retrouve non pas un mais deux boutons dédiés de base au changement de DPI à la volée. On constate que la molette abrite un rétroéclairage RGB, tout comme le logo placé à l’arrière de la coque de la souris.

Enfin, au niveau de la base, on a toujours ces quatre gros patins en PTFE, placés sur chaque côté en longueur et en largeur de la souris. On regrette que Mionix n’ait pas tenté d’en rajouter un cinquième, potentiellement placé au centre de la base autour du capteur pour diminuer tout risque de frottement, vu la largeur de la souris.