Clavier mécanique sans fil Epomaker NT68 Low Profile, l’ultra personnalisation avant tout, page 4

Si la personnalisation physique est aisée avec les switches hot-swappables, contrôler le rétroéclairage et accéder aux paramètres du clavier nécessitera l’installation d’un logiciel dédié. Et c’est ici qu’on rencontre une petite bête noire. Le clavier n’est disponible qu’en chinois ou en anglais et il est surtout diablement chargé visuellement. Toutes les options sont réunies sur une seule et unique fenêtre.

L’interface graphique est donc très encombrée et offre une expérience utilisateur assez décevante, il faut le dire. D’une part, parce que la définition de la fenêtre est bloquée sur une résolution de 1200*900 pixels (ça va quand on est en 1080p, ça commence à être petit en 1440p et c’est assez illisible en 4k), mais aussi parce que les options manquent de clarté et s’adressent pas mal à des power-users. La reprogrammation des touches et la création de macros est assez difficile à comprendre, encore plus pour un utilisateur vraiment néophyte.

Heureusement, si on ne cherche pas à full-customiser le layout, les légendes des touches qui possèdent une fonction seconde est évidemment bien assez explicite. En soit, mieux vaut se contenter d’utiliser le clavier en plug-and-play et de laisser tomber le logiciel, si ce n’est pour aller chercher quelques effets de rétroéclairage.