Test clavier mécanique NZXT Function : le premier clavier mécanique de la marque , page 4

Le clavier NZXT Function se paramètre via le logiciel unifié CAM. Un logiciel certes complet et relativement puissant, mais tout aussi gourmand en ressources (319 Mo dans notre cas). Les options proposées ne sont pas très nombreuses et se retrouvent toutes dans une fenêtre unique. On pourra y régler le rétroéclairage RGB du clavier sous deux volets : un jeu de couleur fixe ou animé superposé par un jeu de couleur réactif (à l’activation des touches), qu’il n’est pas obligatoire d’activé. Pour les bons amateurs d’effets de rétroéclairage, c’est une proposition assez unique qui peut se trouver satisfaisante, mais il faut savoir que les transitions de couleur et d’effet manquent tout de même assez nettement de douceur et de fluidité. C’est peut-être un “défaut” qui se verra corrigé dans le temps.

Le logiciel permet également de modifier les attributions des touches de base, mis également de modifier les fonctions secondaires. Un vrai plus qui n’est que rarement proposé dans les pilotes de constructeurs concurrents. On ajoute à cela le fait de pouvoir créer des macros et on peut établir que la personnalisation est très complète à ce niveau. Évidemment, tout cela se gère sous plusieurs profils différents. Enfin, il est possible de désactiver les touches Fn et Windows séparément. Utile pour les gamers ou ceux qui ne souhaitent pas passer par plusieurs profils différents en fonction de leur besoin.

C’est en tout cas tout ce que propose le logiciel CAM pour ce clavier. On note l’absence du réglage du debounce rate, mais après réflexion, s’agissant d’un clavier avec PCB hot-swap, si un switch venait à montrer ses premiers signes de faiblesse, il est plus simple, très peu couteux et facile de le changer plutôt que de se risquer à explorer cette option qui peut s’avérer être piégeuse si son usage et sa finalité ne sont pas bien maitrisés.