Test Logitech MX Mechanical Mini : un clavier mécanique sans-fil taillé pour la bureautique !, page 3

Logiciel

Le logiciel unifié Logitech Options permettra à l’utilsateur de remapper quelques touches, mais malheureusement pas toutes et de surcroit, il n’y a pas d’éditeur de macros inclus. C’est dommage, le côté power-user s’estompe un peu avec cette petite négligence.

L’utilisateur pourra également personnaliser le rétroéclairage du clavier, en choisissant l’intensité, mais également six modes, statiques ou dynamiques. Pour économiser un maximum de batterie, il est évidemment conseillé de désactivé le rétroéclairage, ou de ne pas mettre la luminosité au maximum.

Le clavier intègre aussi une prise en charge du Easy-Switch, permettant par une combinaison de deux touches de permuter entre plusieurs PC appairés au clavier (trois maximum pour être plus précis), que ce soit en Bluetooth ou via le récepteur unifié Logi Bolt. À cela, on ajoute la prise en charge de flow, permettant non seulement de passer d’un PC à l’autre, mais d’intégrer en mémoire un copié/collé de texte, d’image ou de fichiers. Une fonctionnalité qu’on apprécie énormément ici à la rédaction quand on bosse sur plusieurs plateformes en même temps sans s’embêter avec plusieurs périphériques ou un commutateur USB. Par contre, pour en profiter, il est obligatoire d’avoir une souris Logitech qui prenne en charge cette fonctionnalité. Dommage !

Enfin, dans les paramètres on pourra choisir d’activer ou non le rétroéclairage et de choisir si on veut que la fonction principale de la rangées de touches Fonction soit celle d’origine ou celle des raccourcis multimédias inscrits en légendes sur cette rangée de touches.