Test Roccat Kone Air : abordable et performante !, page 2

La souris

L’un des facteurs qui permet de contenir le prix de cette Kone Air, c’est un bundle très pauvre. Effectivement, à part la notice et le livret de garantie, on ne trouvera pas grand-chose avec la souris, si ce n’est une pile AA et bien évidemment le récepteur USB Stellar-Wireless, qui a un logement situé dans la coque de la souris. Pour plus d’autonomie, sachez qu’il est possible d’ajouter une seconde pile, mais c’est bien évidemment au détriment du poids de la souris qui pèse déjà 93 grammes à vide et 119 avec la pile fournie. À voir s’il existe des modèles de piles plus légers que d’autres, mais bon... Bref, normal que l’on ne retrouve pas de câble USB puisque la souris n’intègre pas de batterie !

La Roccat Kone Air est disponible en deux coloris : noir (comme notre exemplaire de test) ou blanc. Ses dimensions sont généreuses (132 x 82 x 43 mm) et son ergonomie très prononcée, notamment au niveau de l’emplacement du pouce, comme sur la Kone XP. Complètement dénuée de tout rétroéclairage, elle arbore une ergonomie certes chargée, mais reste tout aussi sobre.

On retrouve sur le côté gauche deux traditionnels boutons latéraux, mais aussi un troisième sous le pouce, qui permet si on le souhaite d’activer le technologie EasyShift qui, à l’instar d’une touche Fn d’un clavier, permet de donner une fonction secondaire à tous les autres boutons de la souris. L’ensemble de cette partie de la souris est en plastique texturé, permettant d’assurer un bon grip.

Les deux boutons principaux abritent des switchs Roccat Titan qui annoncent une durée de vie estimée à 100M de clics. Des switchs que nous connaissont bien à la rédaction puisque presque toutes les dernières souris Roccat en sont équipées. La molette a une largeur assez généreuse, mais contrairement à la Kone XP, elle n’est pas 4D. De même, toujours en parlant de différences entre ces deux modèles qui partagent pourtant pas mal de choses en commun, il n’y a pas de boutons supplémentaires accessibles avec l’index. On a donc une souris plus simple sur le plan fonctionnel et plus sage sur le plan esthétique.

Sous la souris, le constructeur a placé quatre larges patins PTFE à chaque coin pour assurer la glisse, ainsi qu’un autre circulaire qui entoure le capteur, un Roccat Owl-Eye que nous connaissons déjà très bien aussi, dérivé d’un PixArt 3370. On retrouve également un bouton poussoir pour déterminer le mode de connexion de la souris : RTF 2,4 GHz ou Bluetooth.