Test carte mère : ASRock X670E Taichi, tu cherchais un max de VRM ?, page 3

LA CARTE I

Niveau design, la version classique de la TAICHI reste assez « classique ». On retrouve le design noir et or, avec un mélange d’effet mat et brillant. On retrouve aussi l’éternelle roue crantée typique de ce modèle. L’ensemble est sobre et se glissera dans beaucoup de configurations.
Alors que nous reprochons à certaines marques de rester enfermées dans des styles redondants années après années, ici, difficile d’en faire le reproche à ASRock compte tenu de ce qu’ils nous ont proposé cette année. Les modèles LiveMixer ou la PG sonic en sont un bon exemple pour ceux qui veulent mettre un peu de fun dans leur PC. La Taichi se réserve a ceux qui veulent une carte qui aura un rendu haut de gamme pour leur PC. Et si vous vouliez du blanc, vous pouvez préférer la Carrara. On est gâté cette année.

Autour du socket il y a les dissipateurs pour refroidir les VRM, et on peut dire qu’ASRock n’a pas lésiné. En plus d’une backplate assez massive à l’arrière de la carte, à l’avant, les dissipateurs se rejoignent avec un caloduc jusqu’aux 2 chipsets en bas à droite. Profitez-en, on a fait pleins de photos.

Après avoir retiré les dissipateurs, on a pu accéder aux VRM, ce qui nous a permis d’observer de près ce qui a été fait par ASRock, et on peut dire que nous ne sommes pas déçu. C’est très qualitatif, on a bien une carte mère haut de gamme et dédiée à l’overclocking entre les mains.

Nous avons donc 24+2+1 phases alimentées par un connecteur 8+8 pins vers des mosfets Renesas RAA22010540 contrôlés par une puce Renesas RAA229628, la même puce que l’on trouve sur l’Aorus X670E Xtreme de gigabyte. Du lourd donc. Du très très lourd. Surtout qu’en plus, les condensateurs sont des Nichicon 12k. Clairement, on est tranquille côté VRM. Cette fois aussi on a fait pleins de photos, profitez-en.