Test KEF LSX II : des enceintes luxueuses sur tous les plans !, page 2

Les enceintes

Comme le veut la tradition, on commence par présenter l’ensemble des accessoires fournis avec les enceintes. On retrouve dans la boite deux cordons d’alimentation (chaque enceinte possède ses propres systèmes d’amplification – rappel : 1 x 30W pour le tweeter et 1 x 70W pour le woofer), la télécommande et ses piles et enfin, le câble RJ45 pour la liaison filaire entre les enceintes. Ce dernier n’est pas obligatoire, mais il faut savoir que la définition entre le mode filaire et le mode wireless n’est pas la même : 96 kHz en 24 bit en filaire et 48 kHz en 24 bit en Wireless. L’esthétisme ou la (plus) haute définition, il faut faire un choix.

Les KEF LSX II sont proposées en plusieurs coloris : blanc minéral, noir charbon, rouge lave, vert olive, bleu cobalt (comme notre version de test) et un dernier coloris designé par un certain Terence Conran appelé ‘’soundwave’’. Chaque unité mesure 240 × 155 × 180 mm pour un poids total de 7,2 kg. On est donc sur un format très compact, mais les 2 x 100W devraient normalement montrer que ce n’est pas la taille qui compte.

Le design des KEF LSX II sont particulièrement reconnaissables parmi d’autres, notamment avec leur haut-parleur Uni-Q qui intègre le tweeter (de 0,75 pouce) composé d’un dôme en aluminium au centre du woofer fait d’un alliage d’aluminium et de magnésium (d’une taille 4, 5 pouces). Un DSP maison, baptisé Music Integrity Engine, fera le lien entre les deux. Dernière note sur le design, on remarque que c’est la même couleur au niveau de l’évent et du haut-parleur. Au prix des enceintes, chaque détail compte.

Si la face avant bénéficie d’une peinture mate, sur les côtés on retrouve un tissu maillé aux couleurs similaires, accentuant le design très recherché des enceintes. Sous ces dernières, on retrouve un plateau muni de quatre pieds, ainsi qu’un filetage (1/4-20 UNC) pour les fixer au support mural vendu séparément.

Le positionnement gauche/droite de l’enceinte primaire n’est pas fixé. On peut donc, via l’application, déterminer si on préfère qu’elle soit située à gauche ou à droite. Toujours est-il que c’est sur le panneau arrière de l’enceinte primaire que l’on retrouve l’ensemble des entrées et sorties audio. De gauche à droite et de haut en bas, on a :

• - Un bouton Reset
• - Un bouton d’appairage inter-enceintes pour une connexion sans-fil (rappel : 48 kHz @ 24 bit)
• - Un bouton pour l’appairage à une source en Bluetooth 4.2 aptX HD
• - Une entrée optique (96 kHz @ 24 bit)
• - Une entrée USB (192 kHz @ 24 bit)
• - Une entrée analogique en jack 3,5 mm
• - Une sortie Subwoofer au format RCA
• - Une entrée HDMI ARC
• - Le port ethernet de liaison en mode filaire avec l’enceinte secondaire (96 kHz @ 24 bit)
• - Un port ethernet pour une connexion au réseau domestique
• - Le port d’alimentation

Sur l’enceinte secondaire ou ‘’esclave’’, on a le port ethernet, le bouton d’appairage en Wi-Fi et le port d’alimentation.

L’enceinte primaire possède une LED en façade avec un code couleur pour signifier plusieurs états d’activité :

• - Orange : Les enceintes sont en veille et connectées au réseau Wi-Fi
• - Blanc : Fonctionnement en mode Wi-Fi
• - Vert : Spotify Connect
• - Bleu : Mode Bluetooth actif
• - Bleu clair : HDMI ARC
• - Violet : Entrée optique
• - Rose : Entrée USB-C
• - Jaune : Entrée jack
• - Clignotement blanc/orange : Les enceintes sont prêtes à se connecter au réseau Wi-Fi.

Enfin, si on ne retrouve aucun contrôle physique sur les enceintes, elles disposent heureusement, en plus de l’application compagnon dédiée, une télécommande permettant d’allumer/éteindre les enceintes, de couper ou réactiver le son à la volée, de régler le volume, de changer de piste audio, de source ou encore de mettre la musique sur pause.