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Une nouvelle souris à deux têtes : EpicGear Meduza, page 3

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Publié le 27 Février 2012
Page: 3/6



EpicGear a dû bien délirer, allant même peut-être jusqu’à développer le soft avec ses ingé en soirée. En effet, il se comporte comme un vrai programme ; il passe en mode fenêtre principal, ce qui surprend au début. Et, de plus, il possède de petites animations, des engrenages qui s’ouvrent, des panneaux qui glissent…Le tout avec les bruitages spécifiques. C’est bien fait et agréable à l’œil.

Pour le reste, on retrouve quand même un soft qui propose des choses classiques. Il est articulé autour des quatre onglets. Le premier « Main Control » est constitué de deux parties. La première en partie haute est celle où l’on assigne les touches, et l’on viendra attribuer les macros que l’on aura au préalable programmé dans l’onglet « macro ». Nous trouvons aussi sur cet onglet les réglages de DPI des deux capteurs. Chacun peut être régler sur quatre niveaux. C’est à cet endroit que se règle, aussi sur quatre niveaux, la combinaison « host » des deux capteurs. Par contre, il est à noter que seul le capteur laser permet de régler indépendamment les axes X et Y. 6 boutons peuvent être programmés comme bon vous semble ; le seul bouton auquel il est interdit d’assigner quoi que ce soit est celui des profils. Celui-ci n’est autre que le troisième bouton du côté gauche de la souris. Dans la partie basse, se trouvent les différents profils sur lesquels on veut effectuer les modifications. Ceux-ci sont identifiés par une couleur de leds spécifique, qui n’illumine que la molette. Les inscriptions et les indicateurs de DPI restent quant à eux rouges. Il s’agit donc d’une souris assez colorée.



L’onglet « performance » permet de régler le taux d’échantillonnage de l’USB de 125 à 100 HE. Il est aussi possible de paramétrer entre autres, la hauteur de décrochage du laser, la vitesse du double clic, de l’accélération du pointeur etc.



L’onglet « macro » est celui où l’intéressé viendra enregistrer les biens nommées « Marco » dans le soft. La gestion des macros, leurs enregistrements sont calqués sur la concurrence. Ici, il faut créer la macro, la nommer, et ensuite lancer l’enregistrement de sa séquence. Par contre, il n’est pas possible de modifier le timing des séquences. Ensuite, la macro enregistrée se retrouve directement dans l’onglet d’assignation.



Enfin le dernier onglet « support » permet de vérifier le firmware de la souris, la version du pilotes et d’accéder au site internet du fabricant.



Dernière petite chose, si la souris paraît trop colorée, le bouton « Black Out » autorise ou pas l’extinction complète des leds de la souris. Il est caché dans le décor fixe.

Nous avons donc un soft simple, relativement stylisé, qui permet de faire l’essentiel, mais qui a un gros défaut. En effet, le fait qu’il passe en mode écran complet n’est pas des plus pratiques puisqu’à l’ouverture, il masque tout.

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