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Souris Razer Naga Epic Chroma, page 2

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Publié le 11 Août 2015
Page: 2/5



Cette dernière met en avant une bonne finition, les ajustements sont réguliers et précis. Le seul minuscule défaut se situe sous le châssis, donc, au final, vraiment rien de bien méchant. Pour ce qui est des matières, l’Epic se recouvre d’un plastique légèrement rêche, propre à Razer. Il tient mieux dans le temps que le soft touch, mais est indéniablement moins agréable au toucher. Nous avons aussi du caoutchouc souple pour les pavés antidérapants latéraux. En tous les cas, la Naga Epic est assez valorisée et valorisante.

La coque est, sur l’arrière, assez ronde et bombée. Sur le haut, elle reçoit les trois serpents entremêlés en surbrillance. Les clics sont partie prenante de la coque supérieure. Les deux boutons de DPI sont placés en arrière de la molette dans une fente. Ils sont simplement rectangulaires. La molette dispose d’un véritable espace entre les clics. Ils ne se joignent pas en avant de celle-ci. Elle s’équipe d’une bande de caoutchouc noir à picots. Deux bandes de plastique translucide de chaque côté assurent le passage de la couleur. Elle est quadri-directionnelle. La partie droite est relativement simple en comparaison de la gauche. Elle dispose juste d’un patin de caoutchouc antidérapant aux motifs hexagonaux et d’une encoche permettant de reposer l’un des doigts. A droite, en avant du renflement très ventru, nous trouvons le pavé numérique de la souris. Pas moins de 12 boutons sont disponibles. Ils possèdent tous une inclinaison propre et cela a son importance. En effet, cela permet de les identifier facilement les uns des autres en passant le doigt dessus, et c’est l’une des raisons pour lesquelles ce pavé est pleinement utilisable. Sur l’avant de la souris, sous les clics, la Naga s’habille de deux parties de mesh, a priori métalliques. Placé juste entre celles-ci, nous avons le micro-USB de rechargement. Sous le châssis, trois patins se chargent de la glisse. Ils sont accompagnés par un bouton curseur permettant d’allumer ou d’éteindre la souris. Deux connecteurs et un aimant sont placés sur l’arrière, ils permettront de recharger la batterie et de maintenir la souris en place. Petit regret, la batterie n’est pas amovible.









Au niveau technique, Razer est le spécialiste du toujours plus… Mais pas avec la Naga. Elle n’embarque un capteur que de 8200 DPI qui encaisse 50G d’accélération. A son bord, nous avons aussi un processeur ARM 32 bits. . Avec les 12 boutons du pavé numérique et les autres, la Naga dispose de 19 boutons programmables, les clics se parent de switches Omron. La fonction Ultrapolling est de la partie : 1000 Hz, il est simplement question du polling rate. La connexion se fait sans fil, mais comme souvent, Razer reste laconique derrière la technologie employée que l’on supposera finalement classique : 2,4 GHz. Le RGB est de mise : 16,8 millions de couleurs. Même les patins ont droit à une technologie propre à Razer (a priori) : zéro-acoustique Ultraslick. Les dimensions de la souris sont les suivantes : 119 X 75 X 43 mm, en gros, la moyenne, ni trop grosse, ni trop petite. Elle est pesée à 129 grammes, ce n’est pas léger, mais pas lourd non plus pour une souris sans fil.

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Marque : Razer