Clavier Cooler Master SK630, page 3

Nous faisons face à Portal. C’est un soft assez épuré qui propose l’essentiel. A l’installation, il reconnaît immédiatement le clavier et propose d’aller mettre à jour son firmware. Ensuite, comme de nombreux autres, il centralise les périphériques de la marque.

En cliquant sur démarrer, une nouvelle s’ouvre et propose quatre onglets. Le tout premier, nommé Led, prend en charge la question du rétroéclairage. Le SK 630 est bien achalandé de ce côté. Il dispose en effet de nombre de comportements mais aussi de la possibilité de rétroéclairer individuellement les touches. Au niveau des comportements, nous retrouvons entre autres : statique, vague, mode croisé, clé unique, personnalisation, effet étoile, goutte de pluie, couleurs cycliques, souffle, ondulation etc. La liste est longue et permettra de trouver ce qui plaît. La plupart d’entre eux peuvent être modifié sur le plan des couleurs, de la direction et des passages de couleurs, programmés ou aléatoires.

Sur Macro, l’utilisateur pourra aller enregistrer ses séquences et ses macros. L’enregistreur s’articule autour de trois colonnes. Sur celle de droite, il suffit de créer la macro et de la nommer. A l’enregistrement, il n’y a qu’une option : celle permettant de modifier les temps entre saisie. Ensuite, il sera possible de jouer la carte de l’action unique ou en boucle. La boucle s’effectue à la pression continue ou jusqu’à ce que l’on presse de nouveau la touche.

Du côté de l’assignation des touches, Portal ne nous offre qu’une simple réaffectation des touches. Point de touches multimédias ou de commandes habituellement croisées. Il reste toutefois envisageable d’en désactiver certaines. Une bonne chose à l’utilisation : une touche nouvellement affectée est entourée d’un liseré violet. C’est ainsi plus facile à repérer.

Dernier onglet : Profils. Ce dernier prend en charge la question des profils. Le SK 630 en accueille quatre. Sont disponibles l’importation et l’exportation.

Au final, Portal permet surtout de créer ses propres macros et de choisir le rétroéclairage qui convient. C’est assez simple et épuré. Cela dit, reconnaissons que c’est suffisant. En revanche, force est de constater que la fenêtre n’a pas bénéficié d’une résolution tout à fait adaptée : ça déborde un peu tout de même sur nos 1920*1080.