Test boitier Kolink Rocket Complex : Trop complexe justement ?, page 3

Pour l'ouverture du boitier, il faudra faire quelques manipulations. Tout d'abord on retire le panneau en verre trempé, qui est maintenu avec 4 vis à main. Ensuite, via des vis cruciformes, 18 au total, on pourra ôter les panneaux en aluminium.

Passons maintenant dans le Kolink.

Le châssis, De ce nouveau boitier est assez simple et nous allons rapidement en faire le tour.

Ce dernier propose deux compartiments. Le premier à destination de la carte graphique et de deux SSD et le second à destination de la carte mère, du système de refroidissement CPU, de deux SSD, de l'alimentation et de deux ventilateurs de 120 mm. Le châssis est construit le plus simplement du monde, avec des répartitions qui se veulent équitable dans chaque compartiment. On remarque la présence de passage pour faire passer les différents câbles, mais aussi le riser PCI Express 4.0 qui est présent de base dans le bundle. A l'arrière, la maque nous propose deux ventilateurs de 120 mm PWM, qui sont montés sur une grille qui est également compatible radiateur de watercooling en 240 mm.

Comme nous le disions, dans le haut nous avons le cage à destination de l'alimentation. Cette dernière est compatible SFx ou SFX-L. La cage présente des trous pour la ventilateur, tout comme la partie haut du boitier.

Dans le bas, nous avons les deux slots d'extension pour la CG qui sont dotés de caches ajourés et non soudés. Le montage de la CG se fait via des classiques vis. Dans le bas ou trouve aussi l'emplacement de la I/O Shield de la CM et le déport de l'alimentation.

Pour le montage, nous avons intégré les éléments suivants :

• Processeur: AMD RYZEN 5 5500X
• Ventirad: AMD Stock
• Carte mère: B550 ROG STRIX
• Mémoire: 2 x 8 Go DDR4
• Carte graphique: RTX 3070 Ti
• Alimentation: Silverstone passive
• M.2