Endgame Gear XM2we : le meilleur rapport qualité-prix !, page 2

La souris

La Endgame Gear XM2we est fournie avec le strict minimum, à savoir un récepteur USB 2,4 GHz pour assurer la liaison sans-fil avec un couple de microcontrôleurs CX52850 (souris) / CX52650 (dongle), un adaptateur USB-C vers USB-A et un câble USB-C Flex Cord 3.0 de couleur noir, quelque soit le coloris de la souris.

Car oui, la XM2we est proposée en deux coloris : noir ou blanc et noir. Question design et ergonomie, aucune surprise puisqu’il s’agit de la même depuis l’existence de la marque, que l’on retrouve donc sur les XM1, XM1r (que nous avions testée il y a de cela deux ans maintenant), la XM2w et donc aussi sur cette XM2we. De notre côté, nous avons eu la version blanc et noir. La coque en ABS est donc intégralement blanche, seuls les boutons latéraux, la molette et le logo sont noirs, du moins pour ce qui est de la partie visible puisque la base l’est également.

On retrouve donc un gabarit assez compact, puisque la souris ne mesure que 122 x 66 x 38 mm pour un poids de 63 grammes. Ce n’est pas la course à la légèreté ici, mais on est sur une coque pleine et solide. Les deux boutons principaux ne sont pas tuilés contrairement à ce qui se retrouve chez une grande majorité de modèles concurrents, mais ce n’est pas forcément un inconvénient. Entre les deux, on retrouve cette même petite molette, peu proéminente, aux crans secs et moyennement résistants. Les boutons principaux abritent des interrupteurs Kailh Go qui sont optiques et assurent une durée de vie de 80 millions de clics, comme les GM 8.0.

Sur le côté gauche, on retrouve les deux boutons latéraux et le logo du constructeur, mais ce n’est pas tout ! Une petite diode RGB fait son apparition. Elle est uniquement là pour indiquer le niveau de DPI en cours d’utilisation, mais elle s’éteint littéralement au bout de quatre secondes pour économiser un maximum la batterie. Vu son intensité lumineuse, il ne fallait de toute façon pas compter sur elle pour apporter une petite touche visuelle supplémentaire à cette très sobre souris.

Pour terminer, on retrouve l’encart protégeant le port USB-C situé à l’avant permettant de brancher la souris pour recharger la batterie. Il est gros, mais il assure une très bonne stabilité du câble une fois ce dernier enfiché dans le connecteur de la souris. Puis, au niveau de la base, on retrouve deux gros patins PTFE pour assurer la glisse et deux boutons : un pour switcher entre les différents paliers de DPI et l’autre, tout simplement pour l’allumer ou l’éteindre. Et c’est tout ce qu’il y a à voir !