Souris Ozone Radon 5K et Tapis GroundLevel XT, page 2

A la prise en main, il est certain qu’à nouveau la finition est excellente et place cette Radon 5K au niveau de la concurrence sans coup férir. Elle est intégralement recouverte de soft touch, et se fait donc toute douce dans le creux de la main. L’alliance des couleurs en fait une souris au look sympathique, voire travaillée. Le seul regret, à notre niveau, c’est qu’elle reste assez large, et uniquement en termes d’esthétique, elle aurait gagné à être plus fine. M’enfin, l’important reste quand même la prise en main. AU premier abord, elle paraît lourde et pour cause, elle est toute chargée de ses masselottes.

Sur l’arrière de la coque, toute de noire vêtue, nous allons trouver un gros « Oz » en gribouillage classique dans les codes esthétiques d’Ozone. Un Oz qui rappellera à certains d’entre nous une bien appréciable série d’anthologie. A l’avant, bien évidemment, nous découvrons les deux clics. Ceux-ci sont séparés du reste de la coque, et celui de gauche, la fragger, est largement dimensionné. Le droit est légèrement plus petit. Entre les deux clics, nous découvrons une languette de plastique granuleux dur, sur laquelle sont accueillis un bouton translucide, un boutons curseur et enfin une fine molette. Le bouton translucide indiquera sur quel profil est placé la souris et le bouton curseur à monter et à descendre les DPI. Nous ne vous ferons pas l’affront de vous expliquer à quoi sert une molette. Tout joueur qui se respecte connaît cela sur le bout des doigts. Il n’y a pas de séparation marqué entre la coque et les clics. Ceux-ci sont larges et recouverts de soft touch. Sur l’arrière à gauche, se trouve une petite fenêtre translucide doté de quatre encarts. C’est là que sera indiqué votre réglage DPI. Sur les côtés, à gauche, un gros pavé de caoutchouc percé de petits trous est surmonté de deux boutons latéraux pour le pouce. Ce côté est évidé afin de favoriser la prise en main. Sur le côté droit, il y a deux encoches destinées à accueillir auriculaire et annulaire. Sur le dessous de la souris, il y a, de façon archi classique, ce qui nous donne un peu l’impression de l’avoir écrit deux millions de fois, le capteur. Où pourrait-il se cacher sinon ?? Juste derrière une grosse trappe circulaire héberge les masselottes. Petite attention sympathique, les masselottes sont insérés dans une partie mousse néoprène, celle est elle-même solidaire de la trappe. Cela évite de se prendre la tête à aller placer les masselottes au fond de la trappe. En avant du capteur, nous trouvons une de caractéristiques principales de cette Radon 5K, à savoir la possibilité de faire passer le câble à différents endroits afin d’en modifier la sortie : devant-gauche-droite, il y a en tout 5 possibilités pour faire courir le fil. La Radon 5K repose sur 5 patins de téflon. Deux petites pour l’avant accompagnés de deux latéraux plus longs, et enfin un arrondi à l’arrière. A priori, étant donné qu’il s’agit de la même configuration que la Radon 3K, autant vous le dire de suite, ça glisse bien !



Au niveau des caractéristiques techniques, nous avons affaire à un capteur Phillips de 5600 DPI, le PLN 2032. Il ne s’agit donc pas du Twin Sense, mais cela dit, nous le répétons, aujourd’hui, il n’y a quand même plus de capteur moisi sur une souris de jeu. La câble de 2 mètres est donc tressé, et se termine par un USB plaqué or, sur lequel le taux de rafraîchissement atteint les 1000 Hz. La souris a été pesée à 90 grammes, vide, et il est donc possible de l’alourdir de 4.5*5 soit, 22.5 grammes de plus au total. Une souris légère donc. Les dimensions confirment la largeur, non pas conséquente, mais présente, à savoir 123 X 70 X 43 mm. La Radon 5K pourra recevoir quelques macros sur 3 profils. Après cette description, passons au logiciel.