EN DIRECT en ligne connexion / inscription
Connexion

Surnom/Pseudo
Mot de Passe :

[ Vous avez perdu votre mot de pass ? | Devenir membre ]

×

Test clavier OZONE Strike : Black mécanique, page 2

Article
Un Strike, à la main ou mécanique
Rédigé par
Publié le 04 October 2011
Page: 2/4



Le tout est bien enserré dans des maintiens en carton. Avec le clavier, le bundle est constitué comme suit. Il y a un guide de démarrage rapide, pour bien savoir que sur la lettre A, vous allez trouver la lettre…A, un repose-poignet, et deux sachets (erreur, je pense, un seul suffit) qui contiennent un set de quatre touches dont les marquages sont rouges, accompagnées du key puller pour faciliter la tâche. Et puis voilà, le clavier bien entendu, dont la finition au premier regard n’appelle aucune critique. C’est propre, bien ébavuré, et les interstices réguliers. Au pire, les deux ports usb ne sont pas parfaitement alignés mais on retrouve ce petit défaut sur quasiment tous les produits dotés de port USB. Toujours à l’œil, nous remarquons qu’Ozone a opté pour un lettrage spécifique, nettement moins loufoque que son collègue Blackwidow. Nous pouvons même aller jusqu’à dire qu’il est sympathique, alternant lettre majuscule et lettre scripte. Cela nous change un peu, sans pour autant ressembler à un clavier de vaisseau Klingon.



La description de l’objet sera assez rapide puisque, comme tout clavier qui se respecte, nous avons droit globalement à du très traditionnel. En effet, point de panneau multimédia tactile de l’espace, ni de macros, de touches de raccourcis. Ici, c’est du clavier clavier en fait ! Pour le coup, sur le layout, à l’exception de la recherche sur le lettrage, mais aussi de la touche Ozone, remplaçant la touche Windows, vous ne trouverez rien de particulier. Evidemment cette touche Ozone permet de piloter les quelques touches multimédias doublant les touches de fonction. Au dessus du pavé numérique, nous trouvons quelques tâches de sang bien senti, accompagné d’un « Strike » gribouillé comme il se doit. Il y aussi les classiques leds d’indication de Verr Num…A noter que le Strike, à la différence de la concurrence, a opté pour un design un peu arrondi, en témoignent la tranche inférieure du clavier. Cela pourra certainement être un bon point pour ceux qui souhaiteraient se dispenser du repose-poignet. Cela étant, comme il est là, nous l’utiliserons. Du coup, Ozone l’utilise aussi comme support pour rappeler la marque, par un « Ozone » en lettres blanches et aussi grosses. Nous avons droit une nouvelle fois aux tâches de sang. Le repose-poignet se clipse par l’intermédiaire de petites pattes en plastique qui demanderont un peu de soin…sinon, elles risquent fort de ne pas durer très longtemps. Elles restent frêles et chétives. Cela dit, normalement une fois le repose-poignet en place, on ne le retire pas bien souvent, mais pour les lanneurs, c’est autre chose. Combien de pattes ai-je pu cassé ! En dessous, il propose quelques petits patins en caoutchouc pour l’anti-dérapage. Pour en revenir au clavier, les tranches n’avancent pas d’arguments particuliers, à l’exception de la tranche supérieure. En effet, outre un câble de connexion placé en son centre, nous trouvons un panneau I/O. Le câble, tout d’abord, la joue costaud prêt à en découdre avec ses ennemis câbles. Il est de classe militaire, et comme tout militaire, sportif et musclé. Il est effectivement de taille impressionnante. A son extrémité, il y a deux USB, et deux jacks en 3.5mm. Le panneau propose donc deux connexions USB et l’I/O audio correspondant aux deux jacks. Et afin de ne pas trop chercher ce panneau, Ozone l’a surmonté d’un marquage blanc « Ozone gaming gear » pour lequel je vous laisse faire la traduction. Nous ainsi fait le tour de ce petit clavier mécanique aux atours alléchants.





Au niveau de la technique, le Strike fait appel aux switches Cherry noirs, maintenant assez répandus. Pour rappel, il s’agit des plus durs, et comme à chaque fois, ils sont donnés pour pas moins de 50 millions de frappe. De quoi faire quelques textes pour cowcotland, mais aussi quelques parties de BF3. Les connexions USB et audio sont évidemment plaqués or. La fréquence d’échantillonnage s’établit à 1000 Hz, et bien entendu, l’AntiGhosting complet est promis sur le PS2, dont l’adaptateur est fourni. Comme tout mécanique, le Strike est lourd, il a été pesé à 1405 grammes avec le câble. Il y a de quoi assommer un collègue de LAN qui vous met au tas sur un DIRT, alors que vous êtes en tête et que vous pilotez propre… En termes de dimensions, le Strike mesure pas moins de 442 X 145(sans repose-poignet) X 20(au moins épais) et 34(au plus épais) mm, avec le repose-poignet, il atteint les 245 mm. C’est donc un clavier massif et haut qui prendra de la place. Ici, bien évidemment pas de soft, puisque le Strike ne dispose pas de macros.



Partagez :
Marques : OzoneZone