Test Cooler Master MasterBox NR200P, de l'ITX bourré d'options, page 3

L'ouverture du boitier est particulièrement simple : il suffit de tirer sur le haut des deux panneaux latéraux pour qu'ils basculent doucement et viennent se bloquer. On les retire ensuite, et le tout est joué ! Du moins, il ne s'agit là que de la première partie, il sera possible d'aller beaucoup plus loin dans l'ouverture du boitier, voire son démontage. Bonne nouvelle, les deux panneaux sont intégralement filtrés.

On pourra donc retirer le panneau supérieur une fois la vis arrière enlevée, la façade en tirant dessus, et de même pour le bas. Et c'est pas tout ! Chose très rare, Cooler Master a mis de côté les rivets pour mettre des vis, ce qui permet de retirer également les barres qui relient l'avant à l'arrière. Une manière intéressante de laisser plus d'espace pour l'installation des composants, et nous ne nous en plaindront pas. Les amateurs de personnalisation pourront aussi peindre le boitier avec plus de simplicité ; avec quatre vis par barre, c'est assez rapide.

Petit retour en arrière pour revenir au châssis, qui ne demande pas d'enlever tous les panneaux pour le découvrir en détail.

Une fois le panneau de gauche retiré, on tombe nez à nez avec une platine qui va permettre l'installation d'un disque dur ou d'un radiateur watercooling en 240 mm ou 280 mm maximum. Celle-ci est maintenue par deux vis sur la gauche, il est donc facile et rapide d'y mettre les composants souhaités.

Derrière, on trouve logiquement le plateau de la carte mère, avec à droite une cage pour l'alimentation. Celle-ci devra être au format SFX, voire SFX-L, et il sera possible d'ajuster la hauteur de l'ensemble afin que les câbles ne butent pas sur la carte mère. Des trous sont présents dessus, ils permettront l'installation d'un disque 2.5" ou 3.5", ou bien d'une pompe.

En façade, le boitier cache deux emplacements 2.5", avec celuid e gauche qui peut également servir pour une pompe. Le boitier semble donc faire la part belle au watercooling, y compris en DIY, tout juste faudra-t-il trouver le réservoir qui va bien.

L'arrière ne laisse rien voir de plus une fois le boitier totalement démonté et on retrouve nos cinq équerres PCI, en noir.

Enlever le panneau inférieur n'est pas forcément utile, sauf éventuellement pour nettoyer la carte graphique selon sa position, ou alors faciliter l'installation d'un radiateur de watercooling. Et oui, encore une possibilité !

Tout comme l'extérieur du boitier, l'intérieur profite d'une jolie finition avec une peinture parfaitement appliquée.