Fantech Helios Go XD5 : un revival de l’IntelliMouse Explorer 3.0 !, page 3

Le logiciel

Un tout petit logiciel propriétaire sera à installer pour pouvoir entrer dans les paramètres de la souris. L’interface est identique à tous les logiciels dédiés à chaque souris du constructeur et à ceux des souris Pulsar. Décliné en quatre volets différents, le premier et le troisième concernent l’assignation des touches et les créations de macros. Dans le premier, on peut également gérer les différents profils utilisateur et, option encore assez rare aujourd’hui, déterminer le debounce time des switchs principaux.

Dans le deuxième volet, on pourra s’attaquer directement aux performances et aux options liées au capteur. S’agissant ici d’un PAW3370, le niveau de DPI max monte jusqu’à 19k. Il est possible d’avoir jusqu’à 7 paliers, tous personnalisables par incrémentation de 50 DPI. On peut pour chacun attribuer un code couleur, malheureusement ce dernier ne réagira qu’en fonction du mode de rétroéclairage : il faut que ce soit sur une couleur fixe. Les effets multicolores ne sont pas compatibles. C’est aussi dans ce volet que l’on peut déterminer la hauteur du Lift-Off Distance, le polling rate (1000 Hz max) et les réglages de base repris des paramètres Windows.

Enfin dans le dernier onglet, on pourra personnaliser la zone de rétroéclairage RGB située à l’arrière de la souris. Ce sont en tout 6 modes qui sont disponibles, dynamiques ou non, unicolores ou multicolores et pour certains, il est possible de régler l’intensité lumineuse et la vitesse de l’effet s’il s’agit d’un mode dynamique. À noter que c’est aussi dans ce volet qu’on dispose de deux options intéressantes pour préserver un peu mieux la batterie : désactiver le rétroéclairage pendant les mouvements et/ou à partir d’un certain délai d’inutilisation.