Test Ducky One 3 : Le style avant tout !, page 2

Le clavier

Le Ducky One 3 est livré avec plusieurs accessoires, dont une pince pour retirer les capuchons, une autre pour retirer les switchs (le PCB étant hot-swapp), un cordon USB-C pour la liaison avec l’ordinateur et un jeu de touches supplémentaires dans la couleur d’accent du clavier.

Les Ducky One 3 sont disponibles en plusieurs formats et coloris. Dans notre cas, nous avons un full-size (110%) en coloris Cosmic Blue, mais des variantes existent en format compact sans pavé numérique (TKL), 65% (les SF) et 60% (les Mini). Pour les coloris, il existe également en noir ou blanc avec touches en PBT translucide, ou bien encore Matcha Green, Mist Grey, DayBreak, Fuji, Gossamer Pink ou encore Yellow Ducky, avec du PBT double-shot également, mais non translucide.

Le Ducky One 3 tout court est donc au format dit ‘’110%’’. En plus d’intégrer toutes les touches traditionnelles, on retrouve au-dessus du pavé numérique quatre touches multimédia pour régler le volume ou désactiver le son, ou encore lancer la calculatrice.

Le coloris Cosmic Blue consiste en un bleu nuit un peu pâle et mat, avec un lettrage beige sur les touches du même coloris. La couleur secondaire est un bleu marine plus foncé encore sur lesquelles on retrouve un lettrage saumon. Enfin, la couleur d’accentuation, visible par défaut sur la touche Entrée, est en rose saumon elle aussi, avec un lettrage bleu marine foncé.

Le boitier est tout en plastique. Il intègre une couche en silicone au niveau du PCB pour aider à atténuer le bruit. Sous le clavier, on a des patins avec surface en caoutchouc pour aider à maintenir le clavier sur le bureau. Des patins rétractables sont également de la partie pour proposer deux autres angles d’inclinaison. À l’arrière, on a le port USB-C au centre du clavier, accompagné d’une gouttière qui file sur la gauche et sur la droite pour déporter le câble par rapport ah châssis.

Les keycaps sont dont en PBT double shot, au profil OEM. Leur épaisseur est relativement moyenne, mais l’usinage et le lettrage sont propres. Ils abritent des switchs hot-swappable venant de chez Cherry, des MX Red nous concernant. Ces derniers, connus comme le loup blanc, ne sont pas lubrifiés d’usine.

La barre Espace profite de quatre led supplémentaires pour un rétroéclairage beaucoup plus propre, mieux diffus et plus équilibré surtout à cet endroit, pour ne pas laisser la seule diode au niveau du switch faire le travail seule. Les stabilisateurs profitent d’une légère lubrification.