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Test souris Pulsar X2 Wireless & X2 Mini Wireless, page 4

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Publié le 24 October 2022
Page: 4/6

Sous la main

Bien que les X2 Wireless et X2 Mini Wireless n’ont, sur le papier, que très peu de différences sur le plan physique (120 x 63 x 38 mm pour la X2 tout court et 116 x 61 x 37 mm pour la X2 Mini avec seulement 4 grammes de différence entre les deux), ces quelques millimètres de différence ont une grande influence sur la prise en main. Un peu comme sur la Xtrfy M4 Wireless. Bref, si la version normale se prête à tous les styles de prise en main (finger, claw et palm pour les petites mains), la Mini s’oriente très clairement et assez exclusivement au au fingertips et au claw. Alors que je suis moi-même plutôt familier du claw et des souris de type ergo, j’ai étrangement eu une large préférence pour cette Mini dont l’ergonomie est vraiment très appréciable. Pour autant, la version normale est tout autant bourrée de qualité et de pertinence. Bref, une ergonomie racée mais confortable en même temps, à mi-chemin de ce que peuvent proposer les G Pro X Superlight et Viper V2 Pro.

Niveau qualité de construction, on est chez Pulsar, donc pour faire bref, absolument aucun problème en vue. On connait le sérieux de ce constructeur qui ne lance des nouveaux modèles que lorsqu’ils sont capables de faire encore mieux que la génération précédente, même si cette dernière présentait déjà plus que bien. La coque des deux souris est très solide, on entend presque aucun craquement lorsque l’on presse la souris (aucun sur notre Mini d’ailleurs), la structure ne plie pas. La molette est encore améliorée par rapport aux Xlite : des crans encore plus secs et plus marqués, sans aller dans le gras et dans le trop dur. Un excellent équilibre à nos yeux qui propose donc une excellente précision doublée d’un feeling très agréable. Bien qu’il s’agisse exactement des mêmes switchs que sur notre Xlite Wireless, on remarque ici que du fait de la coque pleine mais relativement creuse pour atteindre un poids aussi bien est propice à l’augmentation des nuisances sonores. Rien de méchant cependant, on reste sur un niveau acceptable et surtout normal. La course semble être aussi différente, très très légèrement plus grande avec une butée légèrement plus mushy. En revanche la remontée reste vraiment instantanée et nerveuse.

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Question performances et glisse, c’est encore une fois une prestation exemplaire que nous livre-là Pulsar. Les patins sont excellemment bien usinés et prodiguent une glisse, douce, précise et bien capable de toute la nervosité indispensable pour des sessions de gaming intenses. Pour le tracking, on level up et on passe au tout nouveau PixArt PAW 3395 qui annonce 650 IPS pour une accélération de 50g (contre 400/40 sur le 3370 qu’équipent les XLite Wireless) pour un niveau de DPI qui monte jusqu’à 26K (19K sur le 3370). Bref, si le 3370 était déjà assez overkill à l’époque, le 3395 ne fait qu’effet vitrine bien qu’il montre d’encore meilleures performances.

En ce qui concerne l’autonomie, Pulsar ayant fait le choix de rester très minimaliste sur le rétroéclairage, le constructeur s’assure que la durée de vie de la batterie soit vraiment optimale avec une autonomie totale théorique de 70 heures, ce qui est énorme, mais sans préciser sur quel polling-rate et, bien que cela soit complètement anecdotique vu la sa taille, avec la diode de DPI constamment allumée ou non. Alors, nous avons utilisé la souris une trentaine d’heures avec la diode en blanc et le polling rate à 1000 Hz en partant d’une recharge complète de la batterie, et nous sommes tombés très près des 50%. Bref, plus d’une soixantaine d’heures assurées dans le mode le plus énergivore de la souris. C’est moins que la Razer Viper V2 Pro (rappelons-le, vendue 50€ plus chère), mais cela reste un excellent résultat.

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Marque : Pulsar