Test Cherry MX-LP 2.1 Compact Wireless : Pratique et mignon, page 3

Le logiciel

Bonne nouvelle, le MX-LP 2.1 Compact Wireless est compatible avec le logiciel unifié Cherry Utility Software, qui intègre donc bien plus d’options que le (trop ?) basique Cherry Keys. Un logiciel qui a encore quelques imperfections mineures, comme cette page d’accueil qui ne reconnait pas le layout ISO-FR, mais ce n’est pas très important.

Dans ce logiciel Chery Utility Software, les options restent peu nombreuses, mais une chose déjà à remarquer tout de suite : on a un indicateur de niveau de batterie, chose qui n’existe pas dans le Cherry Keys. Le logiciel est disponible en anglais, en allemand, japonais, coréen, chinois… Mais pas en français (pour l’instant ?). Sous trois profils utilisateurs différents, on pourra personnaliser le rétroéclairage RGB sous 10 effets préprogrammés différents pour lesquels il est possible de modifier la vitesse s’il s’agit d’effets dynamiques mais dans tous les cas, pas l’intensité lumineuse, à moins d’y aller couleur par couleur, ce qui est contraignant. Bon, les touches flèche du haut et du bas ont une fonction secondaire qui permet justement de régler cela, donc pas de problème au final. Enfin, un onzième mode permet de customiser l’éclairage fixe mais touche par touche.

Ensuite, l’onglet User Keys permet de réassigner les touches du clavier, en leur donnant une autre fonction : un raccourci média, un copier/coller de texte, une macro à éditer soi-même… Tout est là. En revanche, on note l’absence de possibilité d’attribuer une fonction secondaire avec la touche Fn, ce qui aurait été un vrai plus, surtout s’agissant d’un clavier compact avec un nombre de touches limité…

Pour terminer, on note la présence d’un bouton KB Setting permettant de déterminer la valeur du polling rate du clavier (de 125 à 1000 Hz), l’intensité lumineuse du rétroéclairage, le code couleur de l’appairage en Bluetooth et les délais à partir desquels le rétroéclairage s’éteint et pour la mise en veille du clavier. Pratique pour optimiser l’autonomie !

Et c’est tout ce qu’il y a à voir. L’essentiel est là, mais on note l’absence de possibilité de programmer des fonctions secondaires aux touches et l’absence de réglage du debounce time des switchs.