LeGraude a écrit: |
Les bacteriophages me semblent également être une voie d’avenir. Le seul problème, c’est qu’il va être très compliqué de contrôler leur efficacité in vivo. In vitro, c’est facile, il suffit de regarder au microscope ! Mais sur un humain, savoir si le phage survit, s’il se développe, se disperse et atteint le site de l’infection et combat effectivement les bactéries, ça va être extrêmement compliqué. Du coup, ça risque d’ouvrir la porte à beaucoup de charlatans qui vendront de fioles de phages dont l’efficacité est totalement inconnue. C’est un peu le côté sombre du système. |